Monsieur Alpha,C'est à mon tour de vous rejeter
écoute
à te servir, à t'aimer, à te suivre. Mais je ne suis
issa les yeux, comme s'il cherc
e, ce n'est pas aussi simple. Il y a de
saie
remière fois, il sembla... hésiter. Pas s
ibre de refuser un ordre de l'Assemblée ? Tu crois que si je t'ava
hirer en moi. Une ligne invisi
m'as menti. Que tu m'as
e mot que je n'ai pas prononcé, c'étai
n son ame
s volé l
is en danger plus que toi. Ton départ signerait la fin d
Assez pour voir trembl
Tu m'as seulement regardée comme un pion à déplacer, pa
s réponses, et j'en repartais avec une certitude
a, at
retiens pas.
squ'à la forêt, jusqu'à l'ombre dense des pins. Je m'écroul
ontenu. C'était la preuve que je n'avais jamais eu de contrôle. Que mon destin avait été d
Peut-être une heure. P
s dans ce vide, il y avait une résolut
as l'Alpha d'u
lpha de ma pr
remière fissure dans le mensonge. D'a
mais son regard ne quittait pas mon reflet. Il y avait dans ses yeux une lumière étrange, entre la fie
ête, murmu
er sa liberté sous les yeux de tout un clan ? Comment peut-on
ié chuchotaient derrière les rideaux. Des anciens s'échangeaient des regards entendus. Les enfants cou
ar les couturières de la meute, brodée de fil argenté. Elle symbolisait l'union des lignées, la fu
encore reculer, souffl
la seule personne à qui j'avais osé montrer la lettre volée. Elle n'avait rien dit, pas tout de suite. Elle
e traqueront, dis-j
pas besoi
nt dans ma tête sans relâche. Les mots de la lettre. Le regard de Kaelthorn. L'é
, continuait comme
ux branches, des draps blancs flottaient sous les vents légers. Tout sentait la fête. Les meutes voisines ét
ais rien de
trahison. Derrière moi, les murmures se faisaient plus aigus, plus hachés, plus curie
te entière, venue assister à une union sacrée, contemplait à présen
dalles, chacune gravée de symboles anciens, ces mêmes symboles
la dernière marche qu'u
Lu
un souffle entre la colère et la stupeur.
lle. Tu ne peux pas le laisser f
s, le regard affolé. Pas parce qu'elle s'inquiétait pour moi, non. Mais pa
placée, dis-
ses. Humilie-le s'il le faut, mais ne pars p
ne ancienne rage qu'on aurait enfermée trop long
a tête. Et sans un mot de pl
ujours, mais plus bas. Les regards étaient braqu
es côtés, Nyssia arborait ce petit sourire qu'on réserve aux victoires f
Chaque pas était un choix. U
a voix claqua dans l
ntement. Avec cette froideur soigneus
i, L
te de tension, infime, presque invisible. Un homme qui sait qu'il va être déma
ter comme un animal devant la meute ? lui de
isa le
lieu pour ce gen
Le bon lieu, c'était sans doute cette lett
répond