La Mariée Remplaçante de l'Alpha
regard devenu plus perçant. Après quelques sec
nerai jusqu'à la route principale. Je con
rdai, un p
is pouvoir marcher ?" demandai-je, u
rave. Ce n'est même pas une entorse. Et le chemin que je connais n
oublier temporairement la douleur. C'était étrange, n'étant avec Mervei
ond, me déstabilisaient. Ils semblaient traverser mon âme, et je me sentis rougir sans raison. Il y avait
bourru, il semblait... rassurant. Il déga
mais mangé", avouai-je, la voix pleine de sincérité,
ment, son regard deve
des comme ça ?" deman
puis secoua la tête comm
n, je sais. Tu viens d'un milieu aisé. Tu as le derni
un moment,
c un léger haussement de sou
par ma réponse. Mais quelque chose en lui semblait curieux, comme
-il d'un ton plat. "Et je suppose que mon ragoût, comparé à t
la vérité, c'est que ses paro
gard de Merveil m'accroche, ses yeux d'un bleu profond semblant sonder chaque pensée qui traverse mon esprit
un battement. C'est incroyable combien il devient encore
, les mots se heurtant à mes lèvres comme un
n éclat malicieux dans ses yeux. Mon visage s'empourpre instan
ée, bien que mes mains trahissent ma
s'il attendait une réponse différente. Mais je me contente de le
ombe comme une bombe, presque trop innocente, mais il
e mon être s'embrase à ses mots. Je détourne légèrement les yeux,
suis pas vraiment le genre de fille à faire la fête tous les week-ends. » Je ris nerveusement, en pensant à mes
nt. Il me scrute, comme s'il cherchait quelque chos
remblante sous la pression de son regar
eptible sur ses lèvres. « Rien, c'est just
ent l'une contre l'autre, une sensation à la fois électrique et gênante qui monte e
en même temps, quelque chose dans l'air entre nous sembl
et l'intensité de son re
e porte en elle une tension palpable, comme si tout ce qui s
oi. Ma gorge est sèche, mes paumes moites, et mon cœur bat à tout rompre. Je ne sais plus si je s
e sens son regard fixé sur mon corps. C'est presque trop intime, trop insistant. Mes hanches, mes cuisses... tout en moi semble le provoquer, et je me sens
va.
qu'il est déjà derrière moi, me prenant dans ses bras et m'attirant violemment contre lui. Ses lèvres se crash
veil devient plus intense, et je m'accroche à lui, mes bras autour de son cou, m'enroulant autour de lui. L'e
ventre. Tout devient flou autour de nous, comme si le temps lui-même se d
l agrippe le tissu de ma chemise et d'un geste brusque, la déchire, laissant les lambeaux de coton glisser au sol. Son regard s'assombrit lorsqu'il fixe mon
entièrement. Je gémit alors qu'il capture un de mes tétons entre ses lèvres, le suçant avec une ferveur qui me fait basculer la tête en arr
uvagerie, mordillant, léchant, goûtant chaque centimètre de ma peau avec une intensité qui me rend presque fo
sa voix rauque et vibrante d'un désir brut. Son regard s'accroc
ec une facilité déconcertante, comme si je ne pesais rien, et m'emporte à travers la pièce. Chaque muscle tendu,
ans un souffle, envoient une onde brûl
jours entièrement habillé. Le contraste entre ma nudité et son contrôle absolu me fait perdre pied. J
ix grave. Son regard est un brasier incandes
r mon état. Son sourire satisfait en dit long, et je me mords la lèv
» murmure-t-il, un éclat
le jette au sol, me laissant complètement offerte à lui. L'air froid s'empare de
Son ordre est c
aisir me submerge, m'emportant avec elle dans un