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La Mariée Remplaçante de l'Alpha

Chapitre 3 3

Nombre de mots : 1201    |    Mis à jour : 29/04/2025

s aiguisés. Un froissement dans les buissons, un mouvement furtif. J

elle a

, dont la peau claire contraste avec l'obscurité du sous-bois. Les courbes sont pleines, voluptu

e panique. Ses yeux bruns, immenses et effrayés, reflètent ma silhouette massive. Elle porte des vêtements de spo

erre. Ma bouc

s yeux glissent sur mon apparence, s'attardent sur ma barbe épaissie, mes cheveux l

que toute créatur

e c

ans un cri étouffé. Son corps s'écrase au sol dans un bruit sourd. Ses formes rebondissent sous l'impact, et un gémissem

donné-je d'une voi

armes perlées au coin des yeu

our une randonnée de ce genre. Ses vêtements, sa posture, tout en ell

e mien. Elle a peur. Une pe

spiration s'accélère, soulevant sa poitrine généreuse de manière presque hyp

yeux. "Arrête

ent plus bruyants, plus désespérés. Elle se

été-je, plus agacé que j

ement lui

main fatiguée sur mon

e rép

ination fébrile. Elle passe un bras tremblant sur son nez rougi et inspire brusquement. Son frêle corps est s

ver dans un tel état, ici, en plein milieu de la forêt, sans la m

La laisser ici ne serait rien

ève-t

, elle se met à genoux avant de se redresser maladroitement. Un faible gémissement

s avec

evrais-je m'occuper d'elle ? Mais la réalité s'impose d'elle-même : elle n'

mais tu dois venir avec moi

larmes, elle hoche lentement la tête. D'un pas prudent, elle avance vers moi. Lorsqu'elle est

pièces tout au plus-mais c'est mon

lle Automne

seuil de la cabane quand elle parle, et l'effet est suffisant pour me figer. Sa voi

ouvrant la porte. Ici, je ne ressens pas le besoin de verrou

''à c

e inspecte chaque recoin, sa respiration saccadée trahissant son angoisse. Ch

je remarque pour la première fois la finesse de ses traits, la façon dont sa peau crémeuse capte la lueur vacillant

urne le

-elle doucement. Ses joues rosissent, et elle esquisse

yeux au ci

ur. « Pourquoi vis-tu ici, seul, dans cette forêt ? C'est ta c

No

ur ses lèvres séchées par le froid,

, peux-tu au moins me donner à manger ? Ça

es restée dehors toute la

t. Automne ne ressemble en rien à une aventurière. Une simple obse

se ne tourn

t-elle arr

surt

uit-e

ron profond, tentent désespérément d'échapper à mon regard insistant, comme

par dire, sa voix

silhouette d'Eva. Ces courbes qui semblent vouloir défier les lois de la nature, qui m'envahissent l'esprit, ravivent en moi des désirs que je pensais avoir ent

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