La Mariée Remplaçante de l'Alpha
s aiguisés. Un froissement dans les buissons, un mouvement furtif. J
elle a
, dont la peau claire contraste avec l'obscurité du sous-bois. Les courbes sont pleines, voluptu
e panique. Ses yeux bruns, immenses et effrayés, reflètent ma silhouette massive. Elle porte des vêtements de spo
erre. Ma bouc
s yeux glissent sur mon apparence, s'attardent sur ma barbe épaissie, mes cheveux l
que toute créatur
e c
ans un cri étouffé. Son corps s'écrase au sol dans un bruit sourd. Ses formes rebondissent sous l'impact, et un gémissem
donné-je d'une voi
armes perlées au coin des yeu
our une randonnée de ce genre. Ses vêtements, sa posture, tout en ell
e mien. Elle a peur. Une pe
spiration s'accélère, soulevant sa poitrine généreuse de manière presque hyp
yeux. "Arrête
ent plus bruyants, plus désespérés. Elle se
été-je, plus agacé que j
ement lui
main fatiguée sur mon
e rép
ination fébrile. Elle passe un bras tremblant sur son nez rougi et inspire brusquement. Son frêle corps est s
ver dans un tel état, ici, en plein milieu de la forêt, sans la m
La laisser ici ne serait rien
ève-t
, elle se met à genoux avant de se redresser maladroitement. Un faible gémissement
s avec
evrais-je m'occuper d'elle ? Mais la réalité s'impose d'elle-même : elle n'
mais tu dois venir avec moi
larmes, elle hoche lentement la tête. D'un pas prudent, elle avance vers moi. Lorsqu'elle est
pièces tout au plus-mais c'est mon
lle Automne
seuil de la cabane quand elle parle, et l'effet est suffisant pour me figer. Sa voi
ouvrant la porte. Ici, je ne ressens pas le besoin de verrou
''à c
e inspecte chaque recoin, sa respiration saccadée trahissant son angoisse. Ch
je remarque pour la première fois la finesse de ses traits, la façon dont sa peau crémeuse capte la lueur vacillant
urne le
-elle doucement. Ses joues rosissent, et elle esquisse
yeux au ci
ur. « Pourquoi vis-tu ici, seul, dans cette forêt ? C'est ta c
No
ur ses lèvres séchées par le froid,
, peux-tu au moins me donner à manger ? Ça
es restée dehors toute la
t. Automne ne ressemble en rien à une aventurière. Une simple obse
se ne tourn
t-elle arr
surt
uit-e
ron profond, tentent désespérément d'échapper à mon regard insistant, comme
par dire, sa voix
silhouette d'Eva. Ces courbes qui semblent vouloir défier les lois de la nature, qui m'envahissent l'esprit, ravivent en moi des désirs que je pensais avoir ent