L'âme sœur du roi des fée
t son expression est tendue - bien plus dure que je ne l'ai jamais vue.
n retard au trav
un peu moins usé, à Brielle. « Allons-y. J'essaierai de convaincre Maîtresse Petren de me payer
ilencieusement. Je passe un bras autour de ses épaules mai
de fermer et de verrouiller la porte derrière nous.
nt pour la sensation - mê
a poche de ma robe, je me
» demande Brielle, ava
ffle-t-elle,
yle d'origine sont indiscernables - la vue me fait frissonner. Un chapeau noir pointu est perché sur ses cheveux gris et frisés. Je peux à peine disc
nais de vue, bien que nous n'ayons jamais éch
eut, par tous les die
côtes. « Elle s'est probablement juste arrêtée pour reprendre
t à notre porte. Elle traîne sur mon bras à mesure que nous approchons de la sorcière, mais je lève le menton, redresse
ent en train de sortir, mais si vous avez besoin d'un endroit pour vous reposer un moment, je
enant tellement que je fais un bond en arrière. Le cracha
» siffle Brielle, et
bleue. Elle me fixe, puis ouvre la bouche, révélant trois dents d'une blancheur éclatante, vestiges d'une mâchoire autrefois
inutes s'égrener. La cloche de la chapelle sonnera bientôt sept fois, et s
ne mère, je ne compren
n agitant l'extrémité de son bâton. « De la magie puissante. Vous jouez à
s moments d'ivresse plus bavards, aime nous raconter comment notre mère était la fille d'une sorcière qui l'avait enfermée dans une tour toute sa
e lune : potions d'amour, sorts de beauté, et autres. Mais Brielle et moi avons toujours été in
nt soin de garder un ton respectueu
ait glisser ses longs doigts le long de son bâton. « Ne crois pas que je ne conn
'offenser une sorcière. « Je voulais seulement dire que ni ma sœur ni moi n'avons participé
s permettant de passer. Brielle la regarde avec une méfiance silencieuse, le
vous », dit-elle en agitan
s n'ayons parcouru beaucoup de distance, la voix de Mère
par-dessus mon épaule. Mais la vieille sorcière s'éloigne dans la rue, l
? » Brielle tire sur mon mantea
la tête et lui offre un sourire rapide
e jeter un regard aux ombres projetées par les bâtiments que nous longeons. Et surtout, je re