La Louve éveillée
ait que cela fait trois, peut-être quatre jours qu'elle a été kidnappée. Arrachée dans la rue et emmenée dans ce laboratoire froid et impersonnel pour être traitée comme le
en métal ne
ne à nouveau. Son cœur s'emballe, ses yeux se remplissent de larmes, tandis qu'elle
avoir prélevé son dernier échantillon de sang. Ils lui ont appliqué des décharges électriqu
goût et à sa honte, l'ont amenée au bord de l'orgasme. Pourtant, rien n'a abouti malgré ses supplications, ses offres de leur dire tout ce qu'ils veulent savoir, de leur donner de l'a
total de son enlèvement commence à la rendre folle. L'ont-ils choisie pour une raison précise ? Ou s'agit-il d'un enlèvement au hasard, juste au mauvais endroit, au mauvais
pieds de blouses blanches et de masques chirurgicaux. Mais avant que la porte ne se referme derrière eux, elle entend un brui
it sort
ifférence perceptible entre les hommes, mais elle sent l'atmosphère de la pièce changer, se tendan
vont-ils lui f
availlent ensemble comme une unité soudée. Un support à perfusion est amené, une poche de sang est branchée
devra se faire tester pour toutes les
possibles, et n'a rencontré qu'un désintérêt total à chaque fois. Elle sent un léger picotement dans son bras lors
corps se rebelle, frissonne tandis que le nouveau je-ne-sais-quoi s'infiltre dans ses muscles, essayant de s'insérer dans ses veines et ses tendons. Elle convulse une fois, ses muscles désobéissant totalement à ses ordres. La créature s'enfonce davantage en elle, atteint son cœur, le fait bégayer. Elle s'infiltre autour de ses poumons, le long d
laboratoire quelconques, leurs yeux brillent de joie. Et c'est alors que l'étrange présence en elle réalise qu'elle ne peut plus bouger les membr
nt à peine formées, des images et des odeurs plutôt que des mots, mais le message qu'elle délivre est clair. Si elle le laisse faire, elle tuer
ibérer des contraintes, mais la présence a une confi
ifique le plus proche d'elle prend une grosse seringue et un flacon d'un liquide vert immonde. « Pentobarbital » est impr
e bête promettant mort et violence... ou affronter sa propre mort imminente. Car désormais, malgré toute la joie suscitée
nt combien de personnes sont présentes, combien de morts el
te. Elle scrute la pièce. Elle s'i
hissent la pièce. Elle répète la question, plus précisément cette fois. Tuer l'homme infecté avec tous les autres, ou laisser celui-ci vivre ? Dee n'a aucune réponse à lui donner. Elle est déchirée
eringue s'avance, mais