La Louve éveillée
ture, priant déjà pour son p
et de regrets, elle sent la créature surgir dan
, groggy, consciente de
.. On n'a vraiment p
ale, malgré l'urgenc
ux et la met à quatre pattes avant même qu'el
en a aussi dans sa bouche. Elle s'étouffe, recrache ce qu'elle peut, a des haut-le-cœur, m
s morceaux de chair arrachés. Le bruit de pas précipités dans le couloir. Elle est debout avant même d'y avoir pensé, la créature impatiente de poursuivre c
fecté par cette présence. Elle est surprise de re
es sont toujours là, verrouillées, inchangées. Elle baisse les yeux sur ses poignets et ne voit aucune t
nus, cherchant une issue à cet enfer étrange. Elle arrive à un petit placard et fouille dedans. Elle trouve une blouse, arrache ses vêtements tachés de sang et essaie d'essuyer le sang de ses mains du mieux qu'elle peut. Pui
i
et quand s'arrêter. Bon sang, qu'est-ce que c'est que cette chose qui rampe dans ses veines, picotante, serrée et pulsatile ? Un grondement dans sa propre
et ses genoux touchent le sol avec un immense
émentaire à bord, que
aller. Son appartement ? Non, bien sûr que non. Ils savent qui elle
ers les grands espaces et les hivers froids. Vers les
ures klaxonnent. Les gens discutent, marchent, empestent la sueur, l'argent et la cupidité. Elle se fraye un chemin à travers la foule, hébétée, toujours en route vers le nord, senta
nt, évitant les portes qui s'ouvrent. Elle esquive la main qui se tend pour
rouille tandis que ce « quelque chose » tente de prendre le dessus, mais est précipitée par une décharge électrique. Son corps frissonne, s'aff