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LE BAISER DE L'ALPHA

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1144    |    Mis à jour : 22/04/2025

n peu plus

culeuses sur mes découvertes superficielles, de la tenue vestimentaire

forts, je ne sens aucune trace de pouvoir sur cet homme. C'est pour le moins inhabituel. Je n'a

Mon côté intellectuel sait que c'est impossible. Certains êtres surnaturels sont tout simplement plus doués

étincelle – et, aussi infime soit-elle, j

ahit. Je déteste que quelqu'un doive mourir pour que je puisse faire mon travail, mais bon san

es détails que je peux sans utiliser ma ma

s toi, dis-je au cadavre de Ren en plaçant do

orsqu'ils utilisent la magie. Voyant qu'elle ne se révèle pas immédiatement, je m'enfonce plus fort dans Ren, pensant que le meurtrier a p

revenue complètement bredouille ? Comment est-ce possible ? Cet homme est mort

'y a

ravant. Ma mâchoire se crispe.

e me faire transpirer davantage, je jure et laisse tomber ma main. Me

llible. Avaient-ils raté quelque chose d'aussi simple qu'une pilule dans sa poche, indiquant que Ren avait fait une overdose ? Cela semble im

rminé, inspect

dée de prélever et d'analyser des preuves dans la nature. On ne les fait pas souvent sortir du poste, seulement lorsque d'autres agents formés sont occupés.

n me penchant pour me concentrer à nouveau sur Ren. Mes ye

ent ? Et qui diab

t, je veille à maintenir ma magie en alerte. À ma grande frustration, elle ne trouve rien. J'étais sur le point d'admettre ma défaite et de lai

nt les longues mèches brunes de Ren e

n loup hurlant avec une étoile à la place de l'œil me fixe, me serrant l'est

ni mauvais. Les métamorphes sont bien, la plupart, en tout cas. Mais celui-ci appartient

sont puissants, vivent ici depuis des générations et ont même fondé la charmante petite ville de Clover Pines.

veux noirs – non, un homme maintenant – que je n'ai pas vu depuis de

t, m'ont brisé le cœur. En quittant Clover Pines, j'ai juré de ne

trouver face à lui, de devoir revisiter cette vie

ieux, les nouveaux et toutes

vois pas d'autre solution, étant donné que celui qui a commi

i était-il, qui le détestait et, surtout, qui l

Crawford ? Vo

dant, mais cette fois, ils n'étaient pas seuleme

es signes de détresse, sans même m'en rendre compte. C'était l'effet que me

'émotion de

bien, j'

ens d'apprendre de ma peau. Quand elles me semblent plus propres, je sors mon téléphon

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