Mirabel : Les héritières
ntra dans le salon. Elle retira les écouteurs de ses oreilles et enleva son débardeur mouillé par l'effort du footing qu'elle venait d'ef
arrelage, des habits tr
range tout ce bazar ›› se
tait là, et un sourire franc éclaira son visage. Sortant de s
êtres. Dehors, le ciel s'était obscurci. Debout derrière l'une d'elles, elle observait les éléments se déchaîner. Ses yeux bleus se teintè
lair qu'elle avait depuis sa naissance sur son avant-bras droit. En baissant son regard, elle remarqua que cette dernière s'illuminait.
fit saccadée, et elle pencha sa tête vers l
. Une villa, où sur la terrasse étaient assises deux fill
le flottait en apesanteur. Cela dura quelques secondes puis, petit à petit, les sensations se dissipèrent. Elle rouvrit brusquem
ies comme tu le disais, s'adressa-t-elle à un cadre
eige. Ses beaux yeux bleu cyan rendaient son regard doux, et
e ses mains et le serra très fort contre son opulente poitrine, tout en laissant ses larmes couler. Tant de fois, elle avait
fil des années, la femme avait été rattrapée par l'âge et avait rendu l'âme. Elle avait cependant pu trans
ce. Elle essuya ses larmes et alla enfiler des vêtements dans sa chambre
ongea-t-elle. Au moins, maintenant, elle comprenait d'où venait cette pluie en pleine saison sèche. Une telle explosion de magie ne pouvait être sans conséquences. Si elle l'avait sentit en
voyage. Sa décision était prise. Elle devait les retrouver, et ceci avant leurs ennemis. Après avoir consul
ice d'avoir pensé à tout. Par chance, aussitôt sortie de la maison elle trouva un taxi qui la conduisit à l'UTB (l'une des banques du pays). Le pa
ent par la fenêtre. Avec la pluie de la veille, elle avait dormi comme un paresseux. Toujours
ous. Les yeux fermés, elle attendit l'impact de l'eau sur sa peau mais rien ne se produisit, juste un silence inquiétant. Elle senti
t qu'elle était entourée d'une myriade d'étoiles. En quelques secondes, elle passa de l'étonnement à l'émer
lle entra en hâte dans la douche et vit cette dernière affaissée sur le carrelage e
hurler. Mais que fais-tu dans cette position
d'eau qui flottaient autour de moi, e...et ... béga
errogea Arielle. Tu en es sûre ? fit-elle e
de perles, continua la jeune fille sous
te cogner la tête en glissant,
i vu, maman, se défe
iette. Comprenant que sa mère ne la croirait pas, el
t raison, maman
er. Le petit déjeuner sera bient
a encore une fois la salle pour s'assurer que tout était normal. Rassurée, un croissant de
e qu'elle avait vu, mais ne comprenait pas comment cela pouvait être possible. Une idée germa dans sa tête.
'en parler avec Laurine. Peut-être qu'elle
as très réussi, revêtit une robe plutôt simpl
emarqua aussitôt la jeune f
orce de tellement réfléchir, elle
n. T'inquiète pas, mam
gnie ce matin. Je risque d'être en ret
résidence à Laurine aujourd'hui. Je ne serai p
sourire. Elle était heureuse pour sa fille. C
it la femme d'une voix enjouée et e
garda la Peugeot cendrée de sa mère s'éloigner de la villa par la fenêtre. Lorsque
léchir sur ce qui leur était arrivé à sa nouvelle amie et elle. Après ce contact, elle avait sen
tre pour l'ouvrir. Une fois fait, les deux rouges-gorges de la veille qui avaient leur nid
grande surprise, elle entendit deux
ette petite, di
ous traiter ainsi dans ce qu
sûrement rêver ›› essaya-t-elle de se convai
✡
ent était vo
pour un nouveau chapitre.
ombreux mais ne vous inquitez pas, vous aurez le temps de
ue feriez-vous à l
rques/cr