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L'Alpha et la Rebelle

Chapitre 5 Chapitre 4

Nombre de mots : 1228    |    Mis à jour : 11/04/2025

es amis près de moi, leurs rires cristallins et la ma

de s'affaler sur le canapé. Mariah s'est blottie contre elle, leurs paupières se fermant déjà. Moi, je suis resté immobile, fixant les

emps... Que ne ferais-je pas pour q

ura Mariah, la voix lourde de fatigue

ement, presque pour moi-même.

ND

ter, les murs penchaient dangereusement, et je me suis redressée en gémissant, pressant mes tempes pour tenter de stabiliser ce monde chancelant qui refusait obstinément de se fixer. Un autre co

ait aujourd'hui.

en que mal. La pièce se mit à tournoyer furi

aule de Mariah. Elle grogna, se retourna légèrement, ses y

e sommeil... et peut-être de peur. Ou alors, c'était

sage se contracter brièvement sous le poids de la

s sommes tous regardés, enveloppés dans un silence tendu, presque palpable. Aucun de nous n'osait pr

nt cette fois, accompagné d'un grog

aboya une voix rude. « On

s mes oreilles. Mais je me forçai à avancer, un pas après l'autre, malgré la terreur qui menaçait de me paralyser. »Kendra, attendez, » lança Lia, mais je secouai la tête, évitant de me retourner. Je ne

la poignée, tremblant

ra brutale, comme si le béton avait pris vie sous une chaleur accablante. L'un d'eux arborait une cicatrice qui courait de son sourcil à sa mâchoire, une balaf

parurent, une sensation

a voix monotone, presque robotique, comme si cette

forçant un hochement de t

restai figée, bouche bée, toutes les pensées que je voulais

st pas

use d'

une raison

nt aucu

, sentant mes jambes flancher. Puis, l'homme à la cicatr

lement l'usage de ma voix. Mais elle était si faible, à pei

révolta. Je savais que c'était futile, parfaitement inutile, mais je n'avais aucun contrôle. Mes mouvements étaient désordonnés, spasmodiques, m

, son souffle chaud effleurant mon oreille. La pa

rte, bloquant sa progression. Je vis ses traits se décomposer, ses larmes couler sans retenue. Cette vision fu

rrais jama

voix tremblante, presque brisée. «

onna-t-il à son complice avant de se pencher vers moi. En un instant, il me hissa sur son épaule comme si je n'étais qu'une p

mme un vulgaire sac à provisions. Je me tortillais, essayant désespérément de voir Mariah et Lia une dernière fois. Tout ce que j'ape

genoux heurtant durement le sol.Quand j'ai levé les yeux, j'ai remarqué une voiture, sombre et racée, dont la carrosserie scintillait malgré l'éclat terne du petit mati

été cannibalisés jusqu'à ne plus être que des carcasses rouillées,

er au visage, lui hurler que je ne bougerais pas d'un pouce, mais mes jambes se sont mises en mouvement sans mon c

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