L'Alpha et la Rebelle
es amis près de moi, leurs rires cristallins et la ma
de s'affaler sur le canapé. Mariah s'est blottie contre elle, leurs paupières se fermant déjà. Moi, je suis resté immobile, fixant les
emps... Que ne ferais-je pas pour q
ura Mariah, la voix lourde de fatigue
ement, presque pour moi-même.
ND
ter, les murs penchaient dangereusement, et je me suis redressée en gémissant, pressant mes tempes pour tenter de stabiliser ce monde chancelant qui refusait obstinément de se fixer. Un autre co
ait aujourd'hui.
en que mal. La pièce se mit à tournoyer furi
aule de Mariah. Elle grogna, se retourna légèrement, ses y
e sommeil... et peut-être de peur. Ou alors, c'était
sage se contracter brièvement sous le poids de la
s sommes tous regardés, enveloppés dans un silence tendu, presque palpable. Aucun de nous n'osait pr
nt cette fois, accompagné d'un grog
aboya une voix rude. « On
s mes oreilles. Mais je me forçai à avancer, un pas après l'autre, malgré la terreur qui menaçait de me paralyser. »Kendra, attendez, » lança Lia, mais je secouai la tête, évitant de me retourner. Je ne
la poignée, tremblant
ra brutale, comme si le béton avait pris vie sous une chaleur accablante. L'un d'eux arborait une cicatrice qui courait de son sourcil à sa mâchoire, une balaf
parurent, une sensation
a voix monotone, presque robotique, comme si cette
forçant un hochement de t
restai figée, bouche bée, toutes les pensées que je voulais
st pas
use d'
une raison
nt aucu
, sentant mes jambes flancher. Puis, l'homme à la cicatr
lement l'usage de ma voix. Mais elle était si faible, à pei
révolta. Je savais que c'était futile, parfaitement inutile, mais je n'avais aucun contrôle. Mes mouvements étaient désordonnés, spasmodiques, m
, son souffle chaud effleurant mon oreille. La pa
rte, bloquant sa progression. Je vis ses traits se décomposer, ses larmes couler sans retenue. Cette vision fu
rrais jama
voix tremblante, presque brisée. «
onna-t-il à son complice avant de se pencher vers moi. En un instant, il me hissa sur son épaule comme si je n'étais qu'une p
mme un vulgaire sac à provisions. Je me tortillais, essayant désespérément de voir Mariah et Lia une dernière fois. Tout ce que j'ape
genoux heurtant durement le sol.Quand j'ai levé les yeux, j'ai remarqué une voiture, sombre et racée, dont la carrosserie scintillait malgré l'éclat terne du petit mati
été cannibalisés jusqu'à ne plus être que des carcasses rouillées,
er au visage, lui hurler que je ne bougerais pas d'un pouce, mais mes jambes se sont mises en mouvement sans mon c