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L'Alpha et la Rebelle

L'Alpha et la Rebelle

Auteur: Max.
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Chapitre 1 PROLOGUE

Nombre de mots : 3191    |    Mis à jour : 11/04/2025

n Blac

ils font là-dedans

secouant la tête, puis

s'était insinuée dans l'air, épaisse, presque vivante. J'appuyai mon dos contre le mur bétonné de l'aile nord du complexe, les b

n est ici pour garder cette foutue entrée. Pas pour jouer aux espions.

ne. « Ouais mais... tu ne te demandes jama

ai net, sa

vant-bras, un tic nerveux qui remontait à l'époque de l'armée. Je jetai un œil à la forêt

s besoin de soldats, seulement de silhouettes pour garder des portes. On avait traversé l'enfer, deux fois, dans un désert où chaque grain

badges anonymes et des contrats bien juteux. On ne montait plus la garde autour de bases militaires, m

ls payaient très c

vec ça depuis longtemps. La loyauté, l'honneur, le sens du devoir ? Des luxes que je ne pouvais plus me permettre. J'avais appris à éteindre ce qu'il

ée qu'on n'avait peut-être pas tout laissé là-bas, dans le désert. Il cherchait

e savais comment suivre les ordres, et

vant le bâtiment, l'oreille aux aguets, mes sens en alerte comme si mon corps savait déjà ce que mon esprit refusait d'admettre. Depuis le début, cette

n regard - une femme en blouse blanche marchait d'un pas vif dans un couloir éclairé par une lumière blafarde. Elle tenait un support rempli de tubes à essai, disparaissant derrière une porte vitrée comme un fantôme a

j'aurais dû m

curité, glaçant le sang dans mes veines. Quelques secondes plus tard, un fracas sourd résonna à l'intérieur du bâtiment, comme si un c

les yeux écarquillés, la voix basse m

couant la tête, refusan

me tambourinait dans les tempes. On est là pour surveiller, rien d'autre. On ne

mes entrailles. Une angoisse rampante, viscérale. Quelque chose se passa

... avant que le silence ne retombe, aussi brutal qu'inquiétant. Trevor fit un pas vers l'entrée, son impulsion plus forte que s

e d'une voix dure.

ixa, in

ont des scientifiques, pas des soldats

pondre, un fracas terrifiant éclata juste au-dessus de nous, semblable au rugissement d'un monde en train de s'effondrer. Je n'eus que le temps de lever les yeux avant que des éclats de verre ne pleuvent autour de nous comme une pluie de lames acérées. Une ombre colossale,

it un

turel : ils luisaient d'un jaune toxique, hypnotique, presque malveillant. Il tourna lentement la tête dans notre direction, et un grondement guttural résonna dans l'air comme une menace venue des entrailles de la terre

a immédiatement en certitude :

e, souffla Trevo

e en dégainant mon arme a

e lança à

u du torse. Mais il ne ralentit pas. Il ne broncha même pas. C'était comme tirer sur une montagne. Trevor perdit l'équilibre, glissant en arrière sous la

a gorge, alors que le martèlement effrén

te, le bruit sourd de ses pattes géantes écrasant la

urs plus vite !» hurlai-je, essoufflé. La terre tremblait sous mes pieds alors que nous foncions à travers la forêt, les arbres semblant se refermer sur

es chasseurs. Nous éti

ien plus grande que ce qu'on aurait pu imaginer. Et rapide. Trop rapide. Les tirs que je lui avais infligés n'avaient servi à rien. Chaque balle, je le savais, avait atteint sa c

u le troisième. Mais non. Elle s'était contentée de grogner et

ns une position d'entraînement que seule l'adrénaline pouvait maintenir. Trevor, à mes côtés, essayait

battu des homm

idée ? lança-t-il,

je d'une voix rauque

comme deux soleils maléfiques dans la nuit. Elle traversa l'espace entre nous en une seconde. Avant q

en jets lourds et noirs, éclaboussant la terre, et le cri de Trevor se mua en un gargouillis atroce qui me hanterait jusqu'à ma mort.Tout s'est précipité dans un instant de chaos pur, comme si la forêt elle-même avait retenu

t le loup se contorsionner sous l'impact, sa chair s'ouvrant alors que le sang giclait en gerbes épaisses, se mêlant à celui de Trevor. Malgré tout, il ne le lâcha pas. J'ai tiré encore, chaque balle un cri de rage,

ment rauque montant de sa gorge, moqueur et cruel. Mon souffle s'arracha de mes poumons en halètements courts tandis que je rechargeais fébrilement,

essant sur ses plaies béantes même si je savais, au fond, que tout était fini. « Allez, Trevor, » murmurai-je, la gorge

cherchant un fragment d'adieu dans le chaos. « Je su

oisèrent, et je sus que l'histoire n'était pas encore terminée.Il était apparu comme un spectre sorti de mes cauchemars les plus sombres, cette créature couverte de sang et de rage, hurlant sa haine au clair de lune. J'étais blessé, épuisé, mais pas encore vaincu

ranchante comme une lame, même si mes mains frémissaient d'ad

figés dans une guerre sans mots, deux guerriers aux âmes ravagées. Ma fur

ait venu de li

ffermissant ma prise sur la détente. «

ralentit pas. Les coups suivants retentirent dans la forêt comme des tambours de guerre. Deux balles l'atteignirent – une au flan

: un clic creux, métall

sur moi. Je balançai l'arme, déjà inutile, et arrachai mon c

nc avec un craquement humide. Il gronda, son haleine fétide m'enveloppant, les crocs à quelques centimètres de mon

ciale. Mon corps s'est cabré sous l'impact, projeté contre le tronc d'un arbre avec une violence inouïe. Mon souffle s'est brisé, mon dos heurtant l'écorce avec une te

, pas tout à fait humain, pas tout à fait animal. Elle a reculé d'un pas, surprise. Moi aussi. J'ai vacillé, le souffle court, le corps criant grâce. M

et se refermaient à chaque respiration hachée. Il saignait. Et pourtant, dans ses yeux, brillait encore une férocité indomptable. J'ai

ttement

morsure qui a embrasé tout mon flanc. Je me suis entendu hurler, un son guttural que je ne me savais pas capable d'émettre. Pourtant, je n'ai pas lâché pris

li en une gerbe violente, noyant mes bras, mon torse, mon visage. Ses yeux se sont écarquillés, brillants d'incompréhension, puis d'eff

ontre moi, lourd et chaud, puis s'est écroulé au sol, ses pattes s'étalant sans force.

n amas de douleurs, de plaies et de sang. Et pourtant, je fixais encore ses yeux sa

vec un son sec et métallique. Mes bras tremblaient, une chaleur intense m'envahissant tandis que mon propre sang commençait à se répandre, imbibant mes vêtements et tachant la terre sous moi. J'ai tenté

ut sur son passage, n'était plus. Pourtant, j'étais encore là, vivant, même si chaque mouvement semblait un dé

is pour le monde entier. Le moment précis où tout bascula... c'était plus qu'une simple blessur

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