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L'Alpha et la Rebelle

Chapitre 2 Chapitre 1

Nombre de mots : 1386    |    Mis à jour : 11/04/2025

ra R

allique de la peur. J'avais toujours su que le jour viendrait, mais mainten

uté de tout mon cœur. Demain, tout serait terminé. L'illusion de la liberté, le dernie

de béton imprégné d'eau. Les arbres, tordus et déformés, sortaient de l'asphalte fissuré comme des bras tendus d'outre-tombe, leurs racines s'enroulant autour de voitures abandonnées, tandis que l'herbe sauvage explosai

e mais persistante. Ses cheveux bruns, enchevêtrés en une tresse négligée, pendaient sur

lle lançait un coup de pied dans une pierre abandonnée. « Probablement, » dit-elle d'un

ait lentement dans notre conscience. Pendant un instant, tout était calme. La tension s'installa entre

e fermerait sur ma liberté, et je n'aurais d'autre choix que de franchir ce seuil.Je les ai balancés tous les deux, mon

lendem

lus glaciale que je ne l'aurais

celui que j'avais tenté d'étouffer sous des tonnes de déni. Rien n'y avait fait – absolument rien. Le jour suivant, ils vi

capturé, forcé de m'ouvrir à leur vol

rs engloutis par des vagues de mousse épaisse et de vignes envahissantes. Les carcasses des panneaux publicitaires se dressaient au-dessus de nous

ouffle ténu, presque imperceptible, mais dans ce s

ecouant la tête. « Tu sais ce qu

d'elle comme pour se protéger. « Ils

sayé, bien sûr, mais ils étaient revenus brisés – ou ne revenaient jamais. Les loups faisaient toujours des exemples de ceux qui tentaient de s'échapper, et je savai

s projetées par la carcasse délabrée d'un bus renversé, son squelet

d'une voix plus basse encore, comme si prononcer ces mots

uter spéculer, surtout pas maintenant, alors que j'étais si près de découvrir... ce qui m'attendait. Mes poings se serrèrent convulsivement, mes ongles s'en

plus sinistres – des monstres de béton penchés les uns contre les autres, tels des ivrognes vacillants au bord du gouffre, leurs façades fissurées et gonflées par des années d'abandon. Les poutrelles métalliques, tordues et rongées par la rouille, semblaie

ssés. « C'est juste... c'est dur de ne pas y penser, tu comprends ? De

nt incrustées dans ma peau, devenues une seconde nature. Je comprenais parfaitement ce qu'elle ressentait. Nous avions

s clandestins, pour obtenir les antibiotiques nécessaires à sauver Lia. La maladie noire, cette abomination moderne de la peste bubonique, avait failli

clément, et cela faisait bien lon

te... j'ai besoin de cette soirée, tu comprends ? Juste une soir

ne pointe d'amertume dans son intonation. « Rien

quelques heures supplémentaires pour faire semblant. Pour oublier que les loups étaient

ttes et le sifflement lointain du vent serpentant entre les gratte-ciel abandonnés. La ville était comme une ph

éclats d'obsidienne irréguliers. Je les suivis des yeux jusqu'à ce qu'ils disparaissent, un poids oppressant se formant dans ma g

que demain prome

entendre. Elle tendit la main, effleurant mon bras, et m'offrit un sour

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