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Captive Du Milliardaire

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1783    |    Mis à jour : 04/04/2025

entrebâillée, des murmures feutrés,

oix grave que je reconna

rate un b

nt qu'elle

plus rauque, s

souffle. Ils

semble plus épais, comme si la pièce elle-même tentai

ne question de temps, répond Max

, e

se dans sa voix, une gravité qui ne colle pas avec

t agir a

s'étire,

bruit

ntre le mur. Mon cœur bat trop vite, tro

i

rsation

qu'elle n'

me

e que tu ne le crois,

de rire s

ent à quel point

églu

sorte qu'elle

ng se

de chaise

st pas u

tranchante

re la vérité, el

une a

grogne, visibl

a sure

tu la so

p bruyant. Je dois

ement de

qu'un

ique m

ns et cours avant

de pas me p

mil

tournant brusquement à l'angle. Une porte. Je l'ouvre p

ité m'en

ens mon

tent juste der

Ou

o

s'abaisse

r tremble, inca

folie, je me plaque contre l

rte s

re se d

ur s'a

axime

de ce dans quoi tu vie

répond

s. Maxime reste immobile, me scrutant comme s'il évaluait la situation, pesant le moindre de mes mouvements. L'air semble

e-t-il d'une voix basse, tro

es sont tendus, prêts à fuir

, sa main se referme sur mon poignet. Le contact est brûlan

ses ? Tu les auras. Mais pas en

Il aurait pu m'écraser d'une simple pression, et pourtant, il

Qui je suis réellement ? demande-t

veux savoir. Mais je ne suis pas cert

mène à un immense salon aux murs ornés de bois sombre. Un feu c

ouette l

umière. Son visage est partiellement dissimulé par la pénombre, mais je perçoi

s mon instinct me hurle q

s'avance vers lui, son corps tendu

e Maxime, sa voix plus

sse un sourir

ais été du ge

son me

, plus pour moi-même que

isse sur moi, me scrutant

Émilie, dit

e cr

? demandé-je à Maxime, un

d Maxime sans détourner les yeux de

up de choses, rétorque l'h

e tendu s

e leur relation. Alliés ? Rivaux ? Il y a une ani

demande finalement Maxi

, je perçois une lueur dans son regard. Qu

peler que le

is sa mâchoire se contr

re la s

ricane d

ourquoi cette femme

omac se

s ma protection, répond

se-moi rire. Depuis quand te souc

ens mon

rement la tête, son r

ais pas être

qué-je, la voix plus fer

amusé étire

ne fais pas par

mots, lourds de sen

s en

son me

es réponses. Il se contente de fixer

non plus, murmure Maxime, sa

éclate

ais tu sais aussi bien que moi que c

vers moi, plus in

sera temps de choisir ton camp...

nace v

averti

uis plus

me autour de moi. Et je ne suis plus certaine d'être la

faiblement éclairé. Cette fois, pas d'erreur. Pas de précipitation. J'ai étudié les lieux, mémorisé

calculés. Je longe le mur jusqu'à la porte arrière, celle que j'ai repérée pl

ment et tends la m

sous me

ourne l

perceptible. Un fr

e, l'orei

i

cement et po

se d'autre... une odeur, un parfum de forêt que je ne saurais décrire. Mon

retenant l'envie irr

en

urrait cacher un danger. Je dois être prudente. Je repère la lisière des arb

quelq

je

on cœur tambourine, mais je ne ralentis

mil

la nuit com

arrêt

Impos

chant l'origine du son.

Une ombre surgit en

xi

impassible, comm

artir ? demande-t-il, sa voix basse, vibrante d'

ecule d

se-moi

regarde, son regard perçant cherchant

t pas toi que je retiens... C'

ng se

Eu

se un sou

st pas l

re les

mais le moment,

boug

sur le côté, prête à courir à nouveau, m

nt, il est

ras m'enserrent et je me débats, frap

e, murm

-je, le frap

mil

plus un ordre. Ce n

une

'arr

ation est

ve la

e sont plu

le qui me tient. C'est quelqu'

ça ? demandé-je,

es mains se crispent légèrement s

tu pars... il

riss

Qu

les yeux

il mu

s mi

ffle se

s ti

d s'ancre

pas ce que tu

ux plus

nd de moi

i touj

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