Captive Du Milliardaire
main se referme sur mon bras, me tirant en arrière avec une force implacable. Je vacille, mais l'étreinte ne
a boîte crânienne. Je tente de bouger, mais mes poignets sont entravés. Du plastique rigide enserre mes chairs. Mes chevilles aussi.
bre massive dans l'embrasure. Il entre. Grand, silhouette sculptée dans une précision presque irréelle. Il ne porte ni masque ni cagoule. Son visage est dé
êtes ré
e. Aucun énervement. Aucune impatience.
sui
dont on vient de faire l'acquisition. Son regard effleure mes poignets liés, remonte à mon cou, s'attarde sur
m'avez-vo
ez trop de
s il est plus rapide. Un mouvement fluide, à peine un frémissement, e
us êtes ici pour une raison pr
me dominer, instaurer une dynamique de
z au d
pendu dans l'air. Puis un rire, disc
suis
ombre se fond dans l'obscurité du couloir quan
ule. Pour
trahit mon esprit. Mon souffle est trop rapide, mes doigts tremblent. J'ai tou
grésillement intermittent du néon. Le sol glacé sous mes doigts. Mon cerveau enreg
peler ainsi. Son attitude ne laisse aucune place au doute : il est en contr
n moyen de le détruire av
x hommes entrent, encadrant Maxi
tach
tenter quelque chose, mais les deux gorilles à s
Il attend une explosion, une insult
ge, commente-t-il ave
iens so
tement ? Que je vous remer
rire s'
ivez
t je reste ici, enfermée dans cette cage, soit je prend
le
aque pas résonne sur le sol de béton. Des portes
iste. Un grand fauteuil en cuir noir trône derrière un bureau e
eyez-
ise le
No
gacement trave
ndre, Émilie, que je ne
e suis pas une
électrique
t son bureau. Sa présence est écrasante, ch
, murmure-t
lueur nouvelle. Une
ncieuse. Son regard fixe le mien, une tension invisible flottant entre nous. Il attend que je cède
boug
, murmure-t-il en penc
as obéir aux ordres d'un
l s'amuse. Pire encore, il semb
rté, Émilie ? C'est simp
re les
s ne me con
comme un prédateur qui jauge sa proie. Il
re existence, dans cet endroit, dépend entièrement de ma volonté. Vous mangez quand je l
e ma colonne vertébrale, mais je re
i je r
aleur brutale émane de lui, contrast
us apprend
e pas. Il énonce un fait, comme s'il conn
'obéir
isse sur moi,
s ver
. Ils obtempèrent sans un mot, refermant la porte derrière eux.
-vous, ré
te imm
rayante, m'attrape par le poignet. Son étreinte est ferme sans être douloureuse, une démonstrat
ssitôt, les yeux
z pas me forcer
rd explore mon visage, s'attarde sur ma
ous finirez par comprendre que tout est plus s
rse fugacement son regard. Une hésitation infime, presque imperceptibl
s'installe der
avoir pourquoi
idem
, prenant le temps d
résentez u
ur se
lle v
ouvez être un problèm
e pas son ton
ez cla
rire di
te de personnes que vous
ce les
pas de quoi
en avant, posant ses a
e saurez
ec moi, distille l'information au c
suis censée suivre v
ment. Juste i
oue la
êtes
e. Il ne
s trop téméraire po
venir se planter devant moi. Cette fois, il
Vous battre contre moi et rendre
de ma chaise, m'enfe
ndre à jouer i
ens mon
suis pas
plonge da
s prou
nstalle. Je ne cède
l se redresse
. Des vêtements vous y attendent. Une
protester, mais
une invitation.
s avant d'ordonner à un de
cellule, ni un endroit lugubre. Des meubles sobres, une salle de bai
ntir soulagée. J
yen de m'apprivoiser, de me faire croi
rai pas dan
ois la fatigue creuser mon visage. Mon esprit
s. Je choisis une tenue simple parmi celles mises à ma disposition, évitant celles qui me s
un garde m'attend
ivez
on. Aucune poss
salle à manger luxueuse où
moi, un éclat calcul
eyez-
qu'il l'a ordonné. Parce que je dois appr
étailler comme s'il cherchait à deviner ce que j'allais faire ensuite. Ce silence, loin d'être anodin, est une tactique.
efusant d'être celle qui dét
un dîner va suffire à me fa
ffleure sa b
m est une ennemie plu
c crie famine depuis des heures, et l'odeur des plats d
plement en servant d
d'avoir de
avec calme, puis croise
rtaines vérités sont plus dan
ise le
me le
assombrit imp
'en do
vres et en boit une gorgée
mprendre pourquo
Ou
la tête, comme s'
s par une question simple. Q
once mon prénom avec une familiarité t
sant. Juste que vous êtes un homme ric
s'élargit
ne description intéress
que j'ajoute «
inexact. Vous n'ête
ce les
uez que je l
t s'appuie contre le
ence est liée à des évén
ge se
pliq
rêt, puis ses yeux somb
issez le nom
it, familier sans que je pui
No
n, cherchant peut-êtr
er. Devereaux était un homme in
tai
mort. Bru
grimpe dans
rapport
erre avec une l
mauvaise place,
ale se répand d
compre
is. Des gens prêts à tout p
isiez partie
devient plu
.. impliqu
incomplète.
m'avoir enl
e légèremen
z quelque chose que
ffle se
is pas cet homme, je ne poss
t. Mais vous ave
alo
iter, puis finit par lâch
tait pas
e se contracte
ard
ait... différe
passe dans ses yeux, et soudain, l'air devient p
t une
s du
oignant de la table pour s
a fait croire que l'humanité était la seule
oue la
uoi ? Que je vous
chose dans son regard change. Une intensité br
vez pas d'
parcourt
rain de me dire
nd pas imm
-garou serait un
mbler les pièces. C'est a
No
Ou
ressant s'inst
rquoi
e de nouveau
se, sans en être consciente. Quelque
mon cœur résonne
e souvien
s en
tte dans l'air. Une sens
ous êtes quoi
n regard noir
e vous redoutez
d, prise d'un insti
veux
t impo
is pas à vo
inirez p
ais chaque mot réson
e silence. Pui
nant. Vous aurez
boug
urqu
rire di
e la nuit