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Captive Du Milliardaire

Captive Du Milliardaire

Auteur: max htn
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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 2714    |    Mis à jour : 04/04/2025

main se referme sur mon bras, me tirant en arrière avec une force implacable. Je vacille, mais l'étreinte ne

a boîte crânienne. Je tente de bouger, mais mes poignets sont entravés. Du plastique rigide enserre mes chairs. Mes chevilles aussi.

bre massive dans l'embrasure. Il entre. Grand, silhouette sculptée dans une précision presque irréelle. Il ne porte ni masque ni cagoule. Son visage est dé

êtes ré

e. Aucun énervement. Aucune impatience.

sui

dont on vient de faire l'acquisition. Son regard effleure mes poignets liés, remonte à mon cou, s'attarde sur

m'avez-vo

ez trop de

s il est plus rapide. Un mouvement fluide, à peine un frémissement, e

us êtes ici pour une raison pr

me dominer, instaurer une dynamique de

z au d

pendu dans l'air. Puis un rire, disc

suis

ombre se fond dans l'obscurité du couloir quan

ule. Pour

trahit mon esprit. Mon souffle est trop rapide, mes doigts tremblent. J'ai tou

grésillement intermittent du néon. Le sol glacé sous mes doigts. Mon cerveau enreg

peler ainsi. Son attitude ne laisse aucune place au doute : il est en contr

n moyen de le détruire av

x hommes entrent, encadrant Maxi

tach

tenter quelque chose, mais les deux gorilles à s

Il attend une explosion, une insult

ge, commente-t-il ave

iens so

tement ? Que je vous remer

rire s'

ivez

t je reste ici, enfermée dans cette cage, soit je prend

le

aque pas résonne sur le sol de béton. Des portes

iste. Un grand fauteuil en cuir noir trône derrière un bureau e

eyez-

ise le

No

gacement trave

ndre, Émilie, que je ne

e suis pas une

électrique

t son bureau. Sa présence est écrasante, ch

, murmure-t

lueur nouvelle. Une

ncieuse. Son regard fixe le mien, une tension invisible flottant entre nous. Il attend que je cède

boug

, murmure-t-il en penc

as obéir aux ordres d'un

l s'amuse. Pire encore, il semb

rté, Émilie ? C'est simp

re les

s ne me con

comme un prédateur qui jauge sa proie. Il

re existence, dans cet endroit, dépend entièrement de ma volonté. Vous mangez quand je l

e ma colonne vertébrale, mais je re

i je r

aleur brutale émane de lui, contrast

us apprend

e pas. Il énonce un fait, comme s'il conn

'obéir

isse sur moi,

s ver

. Ils obtempèrent sans un mot, refermant la porte derrière eux.

-vous, ré

te imm

rayante, m'attrape par le poignet. Son étreinte est ferme sans être douloureuse, une démonstrat

ssitôt, les yeux

z pas me forcer

rd explore mon visage, s'attarde sur ma

ous finirez par comprendre que tout est plus s

rse fugacement son regard. Une hésitation infime, presque imperceptibl

s'installe der

avoir pourquoi

idem

, prenant le temps d

résentez u

ur se

lle v

ouvez être un problèm

e pas son ton

ez cla

rire di

te de personnes que vous

ce les

pas de quoi

en avant, posant ses a

e saurez

ec moi, distille l'information au c

suis censée suivre v

ment. Juste i

oue la

êtes

e. Il ne

s trop téméraire po

venir se planter devant moi. Cette fois, il

Vous battre contre moi et rendre

de ma chaise, m'enfe

ndre à jouer i

ens mon

suis pas

plonge da

s prou

nstalle. Je ne cède

l se redresse

. Des vêtements vous y attendent. Une

protester, mais

une invitation.

s avant d'ordonner à un de

cellule, ni un endroit lugubre. Des meubles sobres, une salle de bai

ntir soulagée. J

yen de m'apprivoiser, de me faire croi

rai pas dan

ois la fatigue creuser mon visage. Mon esprit

s. Je choisis une tenue simple parmi celles mises à ma disposition, évitant celles qui me s

un garde m'attend

ivez

on. Aucune poss

salle à manger luxueuse où

moi, un éclat calcul

eyez-

qu'il l'a ordonné. Parce que je dois appr

étailler comme s'il cherchait à deviner ce que j'allais faire ensuite. Ce silence, loin d'être anodin, est une tactique.

efusant d'être celle qui dét

un dîner va suffire à me fa

ffleure sa b

m est une ennemie plu

c crie famine depuis des heures, et l'odeur des plats d

plement en servant d

d'avoir de

avec calme, puis croise

rtaines vérités sont plus dan

ise le

me le

assombrit imp

'en do

vres et en boit une gorgée

mprendre pourquo

Ou

la tête, comme s'

s par une question simple. Q

once mon prénom avec une familiarité t

sant. Juste que vous êtes un homme ric

s'élargit

ne description intéress

que j'ajoute «

inexact. Vous n'ête

ce les

uez que je l

t s'appuie contre le

ence est liée à des évén

ge se

pliq

rêt, puis ses yeux somb

issez le nom

it, familier sans que je pui

No

n, cherchant peut-êtr

er. Devereaux était un homme in

tai

mort. Bru

grimpe dans

rapport

erre avec une l

mauvaise place,

ale se répand d

compre

is. Des gens prêts à tout p

isiez partie

devient plu

.. impliqu

incomplète.

m'avoir enl

e légèremen

z quelque chose que

ffle se

is pas cet homme, je ne poss

t. Mais vous ave

alo

iter, puis finit par lâch

tait pas

e se contracte

ard

ait... différe

passe dans ses yeux, et soudain, l'air devient p

t une

s du

oignant de la table pour s

a fait croire que l'humanité était la seule

oue la

uoi ? Que je vous

chose dans son regard change. Une intensité br

vez pas d'

parcourt

rain de me dire

nd pas imm

-garou serait un

mbler les pièces. C'est a

No

Ou

ressant s'inst

rquoi

e de nouveau

se, sans en être consciente. Quelque

mon cœur résonne

e souvien

s en

tte dans l'air. Une sens

ous êtes quoi

n regard noir

e vous redoutez

d, prise d'un insti

veux

t impo

is pas à vo

inirez p

ais chaque mot réson

e silence. Pui

nant. Vous aurez

boug

urqu

rire di

e la nuit

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