Retour de L'époux délaissé de Lady Sinclair**

pit

une nouvelle gifle, une nouvelle humiliation. Il s'était réveillé ce matin-là avec une nausée persistante, une douleur sourde dans la poitrine, et l'impression qu'il allait encore s'effondrer dans cette mer d'échec.

avait perdu. Rien n'était plus solide que ce qu'on t'avait enlevé. La douleur, la rage, ça ne servait à rien si tu ne l'utilisais pas pour avancer. Il fallai

, c'était une capitulation. C'était se faire manipuler, se vendre à la pire des causes. Mais que lui restait-il d'autre ? Une vie de misère ? De soli

isait, qu'il la voyait sourire, il ressentait la morsure de sa trahison. Elle n'était pas juste partie. Elle ne l'avait pas seulement abandonné. Non, elle l'avait détruit. Et pas simplement avec son départ. Non, c'était plus subtil,

ué sur elle, admirant son nouveau conquérant. Et James, au milieu de cette foule, il se sentait comme un spectre. Invisible. Dépourvu de toute importance. Il savait ce qu'elle pensait. Elle avait jeté un regard dé

ue tout ce qu'il avait vécu jusqu'à ce jour. Et ces mots, il savait qu'il allait les entendre pendant longte

é faire. Il s'était laissé réduire à rien. À une ombre. Elle l'avait détruit, et il

voulait, elle savait ce qu'il était devenu. Et elle l'avait vu comme un simple pion. Mais pour lui, c'était une chance. Une cha

l n'avait pas besoin de discuter. Il avait décidé. Il devait se vendre à elle. Mais il n'était pas naïf. Il savai

, juste une froideur calculée. Elle avait ce regard perçant qui semblait détr

oix grave, presque in

celui qu'il disait être, qu'il ne se déroberait pas sous la pression. Enfin, elle s'approcha, ses talons r

Il avait compris, et il avait pris la décision. Tout ce qu'il pouvait encore faire, c'ét

'est pas la fin. C'est le commencement. Il n'y a pas de retour en arrière. » Elle le fixa un instant, comme une mise

e. À se vendre. Parce qu'il savait que la seule façon de survivre dans ce mon

Il sentait le poids de la décision dans ses veines, mais

torieux. « Maintenant, nous passons à l'é

es, tout co