Retour de L'époux délaissé de Lady Sinclair**
pit
aient à capter un signe, une faiblesse dans son visage parfait, mais rien. Juste une volonté de fer, une froideur palpable. Lady Sinclair ne laissait rien transparaîtr
public. Son esprit battait la chamade. C'était une folie, non ? Il avait tout perdu, c'était vrai, mais de là à s'engager dans un
s'assurer qu'il avait bien entendu. «
nom, vous avez un passé, et vous avez un avenir que vous pouvez réécrire. Vous avez tout à recon
ir de commandement, cette aura de maîtrise qui lui imposait de ne pas détourner le reg
ous imaginez que je puisse en tirer ? » Il haussait une sour
voulez reprendre votre place. Vous voulez vous venger. Vous voulez retrouver votre p
st-ce que vous y
tait d'une tranquillité glaçante, comme un bloc de marbre. « Le pouvoir. L
n d'un avenir où il retrouverait sa place, où il redeviendrait celui qu'il avait été, cet homme qui ne se l
mme s'il se forçait à garder le contrôle. Mais au fond de lui, il savait qu'il n'avait pas le
t entrevoir une vérité qu'il refusait d'admettre. « Vous serez celui qui mène, tout comme moi. Nous
t : allait-il se laisser emporter ? Accepter un marché aussi brutal, aussi impersonnel ? Tout ce qu'il savait, c'était qu'il était au bout du rou
e s'il voulait tester ses propres limite
encore plus bas. Libre de regarder votre vie se détruire, libre de voir ce que vous avez perdu continuer
femme, plus de place dans ce monde. Plus de pouvoir. Et elle, elle lui tendait une main pour l'embarquer dans ce jeu, un jeu dont
ne pourrait pas tourner cette question sans en connaître la réponse. Il se sentait comme une victime. Mai
ames. Parce que vous avez ce qu'il faut pour réussir. Parce que vous avez cette rage intérieure que tout le
l n'était qu'un instrument. Un instrument que l'on pouvait manipuler. Mais l'idée d'être manipulé, d'être pris dans cette toile d'araignée t
rouver, plus rien à sauver, sauf ce qu'il avait à l'intérieur de lui. Il en avait marre d
acte qu'il signait sans avoir encore vu la totalité des conséquences. « Mais j
us soyez mon mari, James. Je veux que vous soyez celui qui me soutiendra dans cette bataill
iège était tendu. Mais il n'éta
ourner les yeux. « Et je veux la récupér
rd. « Alors vous comprendrez ce que nous avons en commun. Nous avons
n territoire inconnu. Mais une chose était