L'Alpha solitaire
le souffle erratique du loup blessé. Autour d'eux, la forêt retenait son souffl
. Le sang était épais, poisseux, et surtout... noirci. Une infec
observait,
e simple blessure
brit, confirmant c
déjà vu cel
de ceux qui avaient été touchés par ce poison. Une morsure qui n'était pas censée guérir
était
a les yeux
a rien
is il ne détourna pas le regard. Son expression restait
pas la prem
se
, il
? demand
agonisant, puis répondit d
. Tous des solitaires.
se, ciblant ceux qui ne seraie
n frisson par
as une attaq
mais son silence éta
e chasse. C'était
son corps se figea dans un spasme. Son s
e, leurs regards croisant l
essante, une certitude
. Tapie dans les ombre
qui ne respectait au
d'entrer dans
èrent sous la pression, leurs branches frémissant dans une danse folle. Un autre hurlement
bougé. Ses yeux, durs comme l'acier, scrutaient l'hori
son ton mesuré mais emprein
tête. Ils étaient loin
aient dans l'air. Puis un bruit sourd, lourd, presque imperceptible au d
friss
dit-elle, à p
cette fois, quelque chose de dang
ns partir.
n corps fusionnant avec les ombres de la forêt. Elle le suivit d'instinct, l'adrénaline maintenant
orêt était maintenant une mer d'ombres mouvantes, comme si les arbres eux-mêmes se replia
t sinistre d
déjà fait. Ses poings étaient serrés, prêts
envahi par les racines et les débris. Le vent s'intensifiait, une brise glacée qui
e lueur faible, mais perceptible.
le paysage qui se déployait devant eux. Elle n'eut pas besoin d
territoire,
regarda,
Qu
. Là, dans la lointaine clarté, elle distin
l'allure... Il n'avait pas l'apparence d'un solitaire. Et l'odeur qui
Alpha la retint d'un simple geste. So
est pas
ns ses veines. Non, ce n'était
s'arrêta, fixant leur position d'un regard glacial, presque menaçant. Puis,
ard vers elle, un éclat de
us proches que ce
l'apparence, n'avait pas bougé. Ses yeux perçaient l'obscurité avec une intensité surnaturelle, comme s'il voyait au-del
ment. Il savait que l'erreur n'était pas dans l'action, mais dans l'impatience. Ils étaient à la lisière de quelque cho
es. Sa peau frissonnait sous la sensation d'être observée, épiée par des yeux i
tourna lentement la tête, son regard fixé sur un point précis dans les ténèbres, au-delà de la silhouette du loup.
dit-il d'une voix bas
les signes de la forêt, mais cet instant était différent. Quelque chose dans l'air avait changé, et elle ne parvena
leur appartenait désormais. C'était cette entité, cette force inconn
l prit une inspiration profonde, comme pour s'ancrer dans un mom
ons être p
ntre l'idée qu'ils puissent être à la merci de quelque chose de si insais
blait avoir cessé, et le silence environnant semblait presque tangible. La forêt, d'ordinaire vibrante de
a n'eût aucun sens, elle se sentit attirée par cette lumière. Quelque chose dans son instinct l'appelait, lui s
us mesurés, plus prudents. Il savait ce qu'elle ne savait pas encore : chaque pas en avant les rapprochait de quelque ch
a lumière, et là, ce qu'ils découvrirent
lumineux au centre de la clairière, baignant l'espace d'un éclat p
ordre et se fondre dans le sol comme une brûlure ancienne. Ses contours étaient presque vivants, comme s'i
eux brillaient d'une lueur inquiète, plus sombre que tout
'un poids qu'elle n'avait jamais perçu chez lui. Un piè
couvert n'était pas simplement un
urité n'était pas une lueur de protection, mais une
d'horreur l
miers à être tombés dans ce piè