icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

L'Alpha solitaire

Chapitre 2 02

Nombre de mots : 1638    |    Mis à jour : 01/04/2025

le souffle erratique du loup blessé. Autour d'eux, la forêt retenait son souffl

. Le sang était épais, poisseux, et surtout... noirci. Une infec

observait,

e simple blessure

brit, confirmant c

déjà vu cel

de ceux qui avaient été touchés par ce poison. Une morsure qui n'était pas censée guérir

était

a les yeux

a rien

is il ne détourna pas le regard. Son expression restait

pas la prem

se

, il

? demand

agonisant, puis répondit d

. Tous des solitaires.

se, ciblant ceux qui ne seraie

n frisson par

as une attaq

mais son silence éta

e chasse. C'était

son corps se figea dans un spasme. Son s

e, leurs regards croisant l

essante, une certitude

. Tapie dans les ombre

qui ne respectait au

d'entrer dans

èrent sous la pression, leurs branches frémissant dans une danse folle. Un autre hurlement

bougé. Ses yeux, durs comme l'acier, scrutaient l'hori

son ton mesuré mais emprein

tête. Ils étaient loin

aient dans l'air. Puis un bruit sourd, lourd, presque imperceptible au d

friss

dit-elle, à p

cette fois, quelque chose de dang

ns partir.

n corps fusionnant avec les ombres de la forêt. Elle le suivit d'instinct, l'adrénaline maintenant

orêt était maintenant une mer d'ombres mouvantes, comme si les arbres eux-mêmes se replia

t sinistre d

déjà fait. Ses poings étaient serrés, prêts

envahi par les racines et les débris. Le vent s'intensifiait, une brise glacée qui

e lueur faible, mais perceptible.

le paysage qui se déployait devant eux. Elle n'eut pas besoin d

territoire,

regarda,

Qu

. Là, dans la lointaine clarté, elle distin

l'allure... Il n'avait pas l'apparence d'un solitaire. Et l'odeur qui

Alpha la retint d'un simple geste. So

est pas

ns ses veines. Non, ce n'était

s'arrêta, fixant leur position d'un regard glacial, presque menaçant. Puis,

ard vers elle, un éclat de

us proches que ce

l'apparence, n'avait pas bougé. Ses yeux perçaient l'obscurité avec une intensité surnaturelle, comme s'il voyait au-del

ment. Il savait que l'erreur n'était pas dans l'action, mais dans l'impatience. Ils étaient à la lisière de quelque cho

es. Sa peau frissonnait sous la sensation d'être observée, épiée par des yeux i

tourna lentement la tête, son regard fixé sur un point précis dans les ténèbres, au-delà de la silhouette du loup.

dit-il d'une voix bas

les signes de la forêt, mais cet instant était différent. Quelque chose dans l'air avait changé, et elle ne parvena

leur appartenait désormais. C'était cette entité, cette force inconn

l prit une inspiration profonde, comme pour s'ancrer dans un mom

ons être p

ntre l'idée qu'ils puissent être à la merci de quelque chose de si insais

blait avoir cessé, et le silence environnant semblait presque tangible. La forêt, d'ordinaire vibrante de

a n'eût aucun sens, elle se sentit attirée par cette lumière. Quelque chose dans son instinct l'appelait, lui s

us mesurés, plus prudents. Il savait ce qu'elle ne savait pas encore : chaque pas en avant les rapprochait de quelque ch

a lumière, et là, ce qu'ils découvrirent

lumineux au centre de la clairière, baignant l'espace d'un éclat p

ordre et se fondre dans le sol comme une brûlure ancienne. Ses contours étaient presque vivants, comme s'i

eux brillaient d'une lueur inquiète, plus sombre que tout

'un poids qu'elle n'avait jamais perçu chez lui. Un piè

couvert n'était pas simplement un

urité n'était pas une lueur de protection, mais une

d'horreur l

miers à être tombés dans ce piè

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir