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Un Bébé pour l'Alpha Perdu

Chapitre 3 .

Nombre de mots : 1178    |    Mis à jour : 30/03/2025

poitrine, comme un compte à rebours invisible. Assise sur le bord du lit, les bras enroulés autour de mes genoux, je fixais le vieux sac à dos d'un regard vide. C'était

a découvrent, soulevant le couvercle avec une révérence mêlée de peur. Les premières choses que je vis furent des photos âgées, leurs couleurs passées par le temps. L'une d'elles attira mon attention : deux jeunes femmes, riant cô

mbiante le faisant luire doucement. Sur une autre photo, il ornait le cou de ma mère. Le coeur serré, je passai la chaîne a

fonnés. Elles parlaient d'un "cercle" et d'un "pack" à la Nouvelle-Orléans, de lignées anciennes et de secrets qu'il valait mieux taire. Mon souffle se b

loups-garous n'existaient pas. Lydia n'avait pas été tuée par des créatures mythiques. C'était ridicule..

c prudence, je fis un pas dehors... avant qu'une poigne de fer ne m'agrippe et ne me repousse brutalement à l'intérieur. Une main rugueuse s

et menaçante murmura à mon or

ng se

cœur battait à un rythme frénétique alors que mes pas martelaient le sol, cherchant une issue

pa le souffle, et avant que je ne puisse hurler, une main calleuse se plaqua sur ma bouche. Mon agresseur était là, près, trop

ieuse, je pourrais l

uais, mon corps tremblant sous l'effet de l'adrénaline. L'air man

sychopathe, tuez-moi vite, q

r. Pour gagner du temps, je hochai lentement la tête, tentant de paraître

échappatoire, un miracle. L'homme n'était pas grand, mais il était large, avec des bras aussi massifs que des troncs d'arbres. Une cicatr

espoir d'une agression ordinaire. Mais le rire qu'il laissa é

'argent, petite..

a tante et de mon oncle, les délires sur les loups-garous et les lignées perdues.

s vous trompez. Si j'étais... autre, je le saurais." Mes poings se ser

lèvres. "Oh, tu le sauras bientôt, gamine. Ta

nt. "Vous l'avez tuée ?" m

beau spectacle." Son sourire sadique fit naître en moi une fureur que je ne connaissa

orné d'un symbole étrange. Mon souffle se coupa. J'avais vu ce motif dans les v

continua-t-il, savourant chaque m

nvahit, prête à exploser. Mes muscles se tendirent, et mes doigts se recourbèr

mpuissance apparente. Mais i

être pas un mons

deviendra

blait vibrer, chaque ombre dansant sur les murs comme des prédateurs prêts à bondir. Puis, un frisson glacé me parcourut l'échine lorsque je croisai

ordait sous ma peau, comme un animal en cage réclamant sa liberté. Étais-je vrai

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