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Un Bébé pour l'Alpha Perdu

Un Bébé pour l'Alpha Perdu

Auteur: Ando Plume
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Chapitre 1 .

Nombre de mots : 1145    |    Mis à jour : 30/03/2025

sant grincer la vieille maison. Olar

e. Pas de lumière aux fenêtres, pas le moindre bruit. Tante Lydia aurait dû

ans la serrure. La porte s'ouvrit lentement, grinçant sur s

i

té, et une odeur métallique flottait dans l'air. Olari alluma la lumière. Son regard balaya le salon : l

e trace sombre sur la moquette crème. Une empreinte. Boueuse. D'autres suivaient, me

tait entrouverte. Ce bureau, toujours fermé à double tour. Olari sen

érissait tant jonchaient le sol, les tiroirs avaient été vidés, et la chaise

rmura-t-elle

au était glacée, et une mare de sang s'étendait autour d'elle. Olari sen

p tard. Olari se redressa, le regard brouillé de larmes, et balaya la pièce du regard. Quelque

ce quelqu'un pourrait

s'épaissir, rendant chaque respiration plus difficile que la précédente. Quelque chose clochait. Mon regard ba

Mais un éclat familier attira mon attention. Là, sous l'un des canapés en cuir, une petite boîte

enfantine m'avait poussée à explorer son bureau, interdiction formelle qui n'avait fait qu'attiser mon envie. Sur une étagère poussiéreuse, j'avais trouvé cette boîte et soule

des photos de ma mère, Sophia, sa sœur disparue trop tôt ? Tante Lydia avait toujours été

éphone, mes mains tremblantes cherchant à composer les trois

ce que tu

ne ombre menaçante. Depuis aussi loin que je m'en souvenais, il m'avait toujours terrifiée. Son aversion à mon égard

ai rien fait,

sse faire du mal à la seule personne qui m'ait jamais aimée ? C'était insupportable. Ma maladresse sociale m'avait toujours isolée. Je n'

p. Les années passées à essuyer ses brusqueries m'avaient appris à reconnaître les signes avant-coure

l'espoir fragile qu'elle puisse encore respirer. Lorsqu'il baissa

de plus en plus froide ces derniers temps, et j'avais toujours eu la sensation étrange que

t, elle n'ét

s vacillantes. Mon cœur battait à tout rompre, chaque pulsation résonnant dans mes tempes. L'air était lourd, chargé de

ufflai-je, ma propre voix m'éch

eux bruns, habituellement ternes, s'étaient assombris d'une fureur

-il. "Ce n'est pas leur domaine

s yeux, incré

ointé vers moi. "Je l'avais prévenue de ne pas te mêler à notre famille. Je lui a

'entendait-il par "mon genre"? Mon regard glissa vers le corps inerte de tante Lydia, é

sous le poids de l'émotion. "Avant qu'ils ne

ndai-je, les mots m

i j'étais une créature venue d'un cauchemar. "C'est eux qu

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