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Seconde Chance pour l'Héritier

Seconde Chance pour l'Héritier

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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 2192    |    Mis à jour : 29/03/2025

on. Pas de nom, pas d'indication. Juste son existence brute, posée là comme une évidenc

e épreuve. Après des semaines de silences ponctués de rares éclats de vérité, il lui balançait ça. Une

ieur d'une écriture nette, maîtrisée. L'encre noire semblait peser sur l

ment la feuille e

ropos

rat, signée de la

ce qu'elle lisait. Travailler pour lui. Un rôle défini, un statut... off

con

itation à reprendre là où ils s'étaient

t, essayant d'endiguer la vague de c

endre d'être invité, son regard sombre fixé sur elle. Pas une

ne que tu

ers lui, serrant inconsciemmen

manière détournée de me

erceptible effleura

Rien d'obligatoir

it l'impression d'avoir le choix. Mais il n'aurait pas pris la

demanda-t-elle,

es la seule à p

avec un poids qu'elle ne comp

épliqua-t-elle, sa voix plus

la distance entre eux. L'air sembla

pliquer. Pas encore. Mais ce contrat... c

e s'échappa des

ité ? Pour qui

na même pa

r nou

'il se moquait d'elle. Qu'après tout ce qu'ils avaient traversé, il ne pouvait pas juste l

ombre de vulnérabilité, si infime qu'elle aurait pu

, posant lentement la

i je r

sa dans les ye

es. Et je ne t'o

. Mais quelque chose dans sa vo

. Il s'attendait à ce qu'elle tourne

ant son propre corps lutter contre

e-moi d

son regard restait rivé sur elle avec

Mais pas tro

quitta l'appartement, la la

*

accorder plus d'attention qu'il n'en méritait. Pourtant, chaque fibre de son être étai

tendu une corde. M

tout, pesait chaque décision avec une précision redoutable. A

sur la table. Camille s'était endormie sur le canapé, son esprit

yeux, une certitude froide

t découvri

n'y avait qu'un

e ses doigts, le regard f

téléphone et composa

près la premi

acce

ne voix plus rauque qu'elle ne l'ava

ne dé

chose qu'il dit a

Camille resta longtemps immobile après l'appel. Le téléphone glissa de ses doigts, tombant sur le canapé dans un bruit sou

vait d

inten

semblait peser plus lourd que les mots qu'elle contenait. Travailler pour Bastien. Se lier à

uvert. Pire encore, une dette qu'elle pensait avoir réglée refaisait surface, menaça

t homme qui oscillait entre mystère et froideur. Mais elle n'était plus une enfant. Les c

sa décision dans un souffle qu'elle espér

n lui revenait en bo

ient-ils en elle comme un

*

tien. L'immeuble s'élevait avec une prestance intimid

s derrière un immense bureau en verre, les doigts

s tôt que prévu,

aussa les

n finir to

èvres, mais il ne dura qu

cie ton p

le bureau et posa un

et s

ns un mot, mais son rega

m'expliquer p

tement. Il s'appuya contre le b

'ai confiance en

e sérieux dans sa voix ne l

u n'as pas une armée

ais ils ne s

d'un sous-entendu qu'ell

e contrat, signa, puis posa

nant, dis-moi ce qu

ard prenant une intensité qu

uis

is se leva à son tour, son instinct lui hurlant qu'elle venait d'

*

ils en sortirent, ils se retrouvèrent dans un coulo

e et s'effaça pour

découvrant ce qui l'at

ait un groupe d'hommes et de femmes aux mouvements aussi fluides que dangereux. Des com

un simple cen

pas un simp

ère elle, son souffle ef

dans mon mon

rna lenteme

t-ce qu

usement traver

on pour laquelle j'

rata un b

stie

u as signé, tu ne

osée, mais il y avait

omprit

Elle venait d'entrer dans un univers don

trop attentive, dissimulée derrière l'une des colonnes du couloir. Une fraction de seconde plus tard, Ba

ras, son regard p

m'expliquer c

ralent

qui te

d'eux. Ils passèrent une porte, puis une autre, et bientôt ils se retrouvèrent dans une salle plus

e le rebord, son regar

y est, il est temps

le long de sa co

ègl

ler avec moi, il y a des

sourcil, croi

avoir déjà si

Camille. Ce qui compte, c'est ce

aille, quelque chose qui lui permettrait de

t'é

aque mot. Ce que tu verras, ce que tu ap

l. Un avertissement aut

uis pas u

ais. Mais tu n'as aucune idée

ment, mais ne répondi

mande de partir, tu pars. Si

défi travers

i je r

t lent, mesuré

ais jamais dû si

re eux s'inten

umission aveugle

ux ta c

un rire s

onique, ve

mbrit légèrement, mai

survient, tu ne joues pas les héroïnes. Tu éc

son estoma

enre de

instant, pui

ne entreprise or

ier jour. Depuis le moment où il ava

plus

quelques secondes

e tu ne soupçonnes pas, des lois qui ne s'écrivent pas sur du papier. Tu veux des réponses

e à protester, mais il ne l

e rester, tu restes jusqu'au bout. P

e épais s

au bout

ange passa d

e que tout

dans l'air, une frontière qu'elle n'éta

savait u

ne jou

une réalité dont elle ne conn

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