Sous une lune rouge
vue, silencieuse, figée sous le poids de l'hiver. Chaque bruissement, chaque craquement sous ses bottes résonnait dans l'immensité blanch
lle, Sereja marchait à grands pas, sa présence réconfortante mais tendue. Il ne disait rien, mai
ntait dans chaque fibre de son être, une énergie lourde, étrangère,
Une demi-douzaine de guerriers se dévoilèrent, tous vêtus de noir, des visages durs et inexp
a Vol
s d'une question. E
oi-
enace. Derrière lui, un autre homme s'avança, plus jeune, plus é
is-n
reja. Pour eux, il n'existait pas. Mais
avant, une lueur me
ais av
bleu ne daigna m
No
sous sa peau. Il aurait voulu se battre, arracher leur accord et la
ma famille, souffla
frustration et de douleur. Finalement, après un dernier reg
irent en marche
à chaque foulée le poids du terr
i des Volkov. Ici, la forêt était plus dense, plus sombre, comme si les arbres eux-mêmes portaient en eux la fu
rigidité de leurs gestes, dans la façon dont leurs regards pesaient sur elle. Ils la co
u feu par les jeunes loups de sa meute. On disait qu'ils étaient plus bêtes qu'humains, que leur Alph
n qui émanait de cette forêt, la sensation opp
bâtisse imposante, un mélange de pierre brute et de bois sombre. Un
la lourde porte et s'eff
celle du cuir et du sang séché l'assaillit. Un silence tendu r
end, annonça l'hom
tra dans une pièce plus vaste, illuminé
à la main. Ses cheveux sombres tombaient en mèches épaisses sur son fron
voilà
e, profonde, emplie
son regard
specté no
és, une silhouette se détacha de l'ombre. Un jeune homme, à pei
or V
e suspendu, Luna comprit qu'ici, parmi ces loups
s traits de Dmitri Volkov en un masque impénétrable. L'Alpha des Volkov ne bougea pas tout
e, le regard sombre et indéchiffrable. Son visage était dur, taillé dan
enfin Dmitri d'un ton mesuré.
émander leur acceptation, ni pour prouver sa valeur. Elle était ici parce que son
ré les années qui pesaient sur lui, il r
nduis-la à s
e, sans
ur froide qui traversa son regard. Il se détourna et
né d'une odeur de suie et de bois vieilli. Rien à voir avec le foyer chaleureux des Bielov.
de pierre et Viktor s'arrê
'es
anchante, dénuée
itait son regard. Ses traits restai
un accueil plus chaleureux ? lança-t-
ssa un rictu
z toi ici, Bielov
e, il tourna les talons et di
soupir avant d'
e bois, une armoire, une fenêtre étroite donnant s
rte et s'adossa co
ul
kov, au milieu des ennemis de sa meute, à la
tait que
e fixait le plafond de bois brut, écoutant les bruits de la demeure Volkov. Le silence n'existait pas ici. Elle percevait des pas
dans une meute où l'unité et la loyauté étaient des piliers, mais ici..
es pensées. Quelqu'un
tendue. Elle hésita un instant
uns noués en une tresse serrée la scrutait
demandé de t'escorter jusqu
qua un
inte
ssa les
mieux ne jamais refus
-entendu. Ici, Dmitri régnait sans partage. Il
cendirent plusieurs escaliers en colimaçon avant de déboucher sur une grande salle en p
re imposante. Certains s'échauffaient, d'autres échangeaient des coups violent
était l
a, ordonna-t-il
ds peser sur elle. Elle n'était p
mi nous, il est temps de v
t fit un signe à un hom
sera ton a
ge marqué par plusieurs cicatrices et des yeux perçants. Il était plus âgé, plus
'avança dans le cercle
gea un instant
tit le vent siffler contre sa joue. Il était
que, mais il para avec une facilité déconcertante
autour d'eux
uestion de perdre. Pas question de leur d
nir. Elle bloqua son coup, glissa sur le côté et lui déc
e étira s
'était pas une
e faisait q