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Les aventures de Lili : Cool Cat

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1787    |    Mis à jour : 22/10/2021

. Normal, les cours n’avaient pas encore commencé après tout. J’imitais donc Améthyste et m’emparais d’un plateau et de quelques couverts avant de le poser sur les rails qui longeaient des pré

demandai-je en m’emparant d’une salade de tomates.

ben… j’me faisais chier, du coup j’suis venue faire un

udiantes ne sont pas loin. C’est un joli coi

diantes, répéta Améthyste comme s

Décidément, cette demoiselle était pleine de curiosités et de mystères. Et j’étais plu

evant une caissière à laquelle ma collègue tendit u

pense à recharger, Améthyste, dé

e par son surnom. Je me demandais alors si elle était particulièrement connue, ou si elle ne do

ns, répondit la demoiselle aux lunettes

mployée et commençait à sortir mon por

epas sur ma carte, expliquai-je avec un léger

idement lorsque je vis l’expression

tine, je peux pas encaisser d’argent, ajouta-t-elle avant de lever un doigt vers la porte d’entrée. C’est écrit ju

la honte me monter aux joues. J’étais tellement préoccupée par ma rencontre avec Améthyste, que j’en ava

ssant la tête. Je vous promets de revenir avec une carte pleine la prochaine f

dit, soupira l’employée. Tu sais que je me fais taper sur les doigts si la direc

et que j’envisageais déjà de sauter mon repas de midi, j’entendis un soupir amusé venant de m

’est des conneries c’t’histoire de pas pouvoir payer sur place. Tout ça pour pas te payer l

la carte qu’on lui tendait. Allez, bon appétit les f

sentais tellement nulle. C’était ce que l’on appelait un grand moment de solitude. Je posais alors mon platea

te dois un repas, articulai-je avant de me cac

d même marrant, parce que tout à l’heure, tu m’as envoyé chier parce que tu croyais que j’voulais qu

s rouges de honte, et pinçait légèreme

demandai-je en essayant de garder

eptible hein ? répondit-elle plong

ui, et en moins d’une heure, soupirai-je avant d’

ve l’air angoissée aujourd’hui, c’est ouf,

e détendre. Après tout, elle avait raison, ces choses-là arrivent, surtout

de table semblait avoir pour objectif de faire un maximum de réserve de graisse, avec son pâté de campagne en entrée, ses frites noyées de mayonnaise en plat principal et son morceau de brownie inondé de crème anglaise en dessert. Le tout

s la présence de cette étrange personne m’apaisait. Peut-être était-ce simplement dû au fait qu’elle avait su me pardonner facilement ? Ou

des personnes bien différentes de moi. Cela pourrait paraître triste d’en douter, mais avant de m’échapper de ma prison dorée, je me sentais comme un majestueux poisson plein d

u d’envie mon yaourt nature. Pourtant, j’adorais les produits laitiers. Mais une étrange

da alors ma voisine de tab

proposai-je avec un so

ui c’passe ? me demanda-t-elle e

de faire part de ses angoisses à une inconnue,

it avec un sourcil haussé, les lèvres légèrement pincées. Elle avait l’air un peu perplexe. Peut-être était-elle vexée q

oix naturellement éraillée. Une inconnue

bref instant, que l’on avait partagé un repas qu’elle avait dû me payer et que sa présence m’était étrangement agréable. Mais qu’elle déclare notre amitié

té. On ne se connaît pas vraiment. Mais je suis sûre que nous serons amenée

ient fascinantes. Un peu comme si elle ne se souciait pas de la tête que cela lui donnait. D’ailleurs, je pensais avoir mis le doigt sur quelque chose. Ce que

Améthyste en passant un doigt sur son menton

pétai-je avec

imum ! négocia ma voisine de tab

s des collègues, des camarades si tu préfères, expliquai-je en tenda

inement des yeux derrière ses lunettes. Mais d’accord… camarade, approuva-t-e

udes dans cette université. À peine arrivée, je faisais déjà les plus curieuses, les plus effrayantes et l

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