L'Héritière Secrète
ne vibra s
e brusquement à la réalité. Son regar
a. Peu de gens a
ta. Puis
brie
il était grave, mesurée. El
re Lef
à une heure pareille, mais une
tivement, son dos quitta
le sit
long pour que l'anxiété
ative de mouvement s
brielle se bloqu
ous voulez dire p
essayé d'accéd
cée se répan
e. Personne
'arrêt
'était cen
ter en elle, son esprit s'emballant déj
tait
ne de la tentative. Mais ce n'était pas un
le long de sa c
ment les yeux, in
les fonds ont
atement. Mais ce qui m'inquiète, c
e serra
ssurer que rien ne la relie à son héritage. Si quelqu'un
ois-je
is vous devez être prudente. Quelqu'u
ur froide perler à
lqu
it pas qui.
chose é
son d'inconfort la traverser. Nathan était là, juste en face d'elle, une rare vulnérabilité dans ses yeux, une vulnérabilité qu'elle n'avait pas anticipée. Il s'était assis près d'elle, plus proc
ce qui me fait
e l'avait jamais vu dans cet état, cet éclat sombre derrière son r
it-elle doucement, essayant de cache
on visage avait changé. Ce n'était plus celui de l'homme puissant et confiant qu'elle connai
entement, chaque mot pesant comme un
n elle. Il ne semblait pas vouloir s'arrêter. C'était un instant étrange, où l'int
il, et pourtant... je me suis souvent demandé ce que cela
ns son masque habituel, la prenait de court. Nathan avait l'air s
il, son regard s'intensifiant
as maintenant. Elle avait ses propres secrets, des cicatrices qu'elle n'était pas prête à dévoiler. Mais
, captant son attention, ses lèv
i que tu fasses, il y a toujours des gens
i il parlait. Mais il y avait quelque chose d'encore plus personnel dans cette confession, quelque chose qu'elle n'avait p
ens, répondit-elle d'une voix plu
ce lourd
passa une main dans les cheveux, comme s'il essayait de reprendre son calme. Gabri
s, Gabrielle, reprit-il soud
re de comprendre où il voulait en venir, mais elle se
elle, ses mots teintés d'un scepticis
droit dan
tu veux bien montrer. Tu caches bien
mais quelque chose d'impulsif la fit se retenir. Nathan savait, il
apparu au coin de ses lèvres. Tu me caches quelque ch
la fit vaciller. Elle n'avait pas envie de l'admettre, mais il avait raison. Elle avait des secret
ion, Nathan, dit-elle d'un ton plu
nterpréter. Mais dans ses prunelles, il y avait aussi une ombre de défi. Comme
s, Gabrielle ? dit-il d'un ton plus froi
éclat de colère
question d'argent. C'est une question de... de distance, de préserva
e nerveux, pre
comme ça ? Comme quelqu'un qui
ntit son vis
e tu viens de faire, Nat
sourcils se haus
e parles. Tu crois que je suis juste ce que j
loir se protéger, mais de savoir si l'un d'eux serait prêt à accepter ce qu'ils étaient vraiment.