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L'Amant Hybride

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1981    |    Mis à jour : 25/03/2025

is du bar, et la distance entre eux ne cessait de se creuser. Son cœur battait plus fort à chaque étape qu'elle franchissait. I

resque sa peau. Il avançait d'un pas rapide, comme si tout ce qui le préoccupait était la route à suivre. Il ne se reto

re cette voix qui, au fond d'elle, lui murmurait de fuir, de faire demi-tour, d'abando

prêt à se briser. Juliette s'arrêta à son tour,

d'une voix basse,

ot. Ses yeux, fauves à nouveau, la fixaien

Il disparaissait entre les ombres des arbres. Juliette hésita un instant, mais l'appel de

ir était lourd, presque tangible, comme si le

. Comme si quelque chose de lourd venait de se poser sur le sol. U

mi

voir. C'était comme une force invisible qui se concentrait devant

mée. Il haletait légèrement, comme si une pression invisible était en train de le détruire. Juliette

ses muscles semblaient se contracter sous sa peau. Des grogn

échi. Elle n'arrivait pas à détourner les yeux. À la place, elle s'enf

se jeta

l. Un son viscéral, primitif, qui semblait provenir de l'enfer lui-même. Juliette re

âle, semblait se déchirer sous la pression. Des poils sombres commencèrent à pousser sur ses bras, son visage, tandis qu

nte d'une scène qu'elle n'aurait jamais cru possible. Le corps de Damien se modifiait devant ses yeux, les musc

plus humaine, pas totalement, mais pas encore complètement un ani

n'était pas seulement la douleur qui marquait cette transformation. C'était une

dain, il

posèrent sur elle. La douleur était encore présente sur son visage, mais il semblait se

t en proie à un tourbillon d'émotions contradictoires. Elle avait vu l'impensable.

arurent presque aussi vite qu'ils étaient apparus. Le processus de transformation s'était arrêté à

ent. Ses yeux, désormais d'un dor

murmura-t-il, une lue

e ce qu'ils venaient de partager, lourd de ce qu'elle avait vu et de ce qu'elle allait

nsformation elle-même. Et pourtant, au fond d'elle, une questi

de se recomposer, comme si chaque mouvement était une lutte contre quelque chose de plus grand que lui. Les griffes avaient disparu, mais quelque chose

encore trop étrange pour qu'elle puisse saisir toute la réalité de ce qu'il venait de lui montrer. Mais il n'était plus l'homme qu'elle avait rencontr

voix rauque, presque déchirée par l'effort

op chargé. Elle n'était pas prête à entendre ça. Comment pouvait-il... Comment pouvait-il être cela ? Un loup-

assait. Mais il la fixait, sans détours, avec une intensité qu'elle n'avait jamais vue.

-il, sa voix brisée. Ce n'est pas un choi

u'il lui disait. La créature qui se cachait en lui... Elle avait du mal à l'accepter. Ce monde, ce monde auq

ce qu'elle savait, c'était qu'elle avait besoin de réponses, qu'ell

rna, mais avant qu'elle n'ait pu réagir, des voix humaines, distantes mais

là ! Attr

t sur Juliette, un instant, avant de se tourner à nouveau vers les voix. Un groupe d'hommes approchait, armés d

peau. Elle comprit. Ils venaient pour lui. Ils savaient ce qu'il était, et ils voulaient le

. qu'est-c

t vers elle, son corps se tendant, ses traits se durcissant. Il la sais

-t-il, sa voix au

rent en essayant de se regrouper pour l'encercler. Mais Damien était bien trop rapide pour eux. Un mouvement brusque, et l'un d'eux fut

uait devant elle. Elle n'avait pas le temps de comprendre tout ce qui se passait. Tout ce

'air froid de la forêt, mais Juliette n'arrivait pas à détourner les yeux. Elle était pétrifiée, incapable de bouger. Elle voyait l'agilité d

ant qu'il n'ait pu insister, Damien était déjà sur lui, l'envoyant valser contre un arbre avec une

-il, d'un ton plus calme,

fit trembler le sol sous leurs pieds. Les cris, les bruits de lutte, tout était devenu une bouillie de sons discordants, une cacophonie que Jul

roit, ses poings serrés, ses yeux fixant les derniers adversaires. Les hommes reculèrent, le regard apeuré, mais il

agée et horrifiée. La scène de violence qu'elle venait de voir ne la quitterait jamais.

lentement, les yeux t

nt, murmura-t-il. Ce mo

e sortir. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était observer. Et se rendre compte qu'elle

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