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L'Amant Hybride

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1584    |    Mis à jour : 25/03/2025

on souffle était court, son cœur battant contre ses côtes comme un tambour de guerre. Tout son corps lui cri

mi

à comprendre ce qu'il était, mais elle savait que ce qu'elle avait aperçu cette nu

était glacial, mais la chaleur sous sa peau ne diminuait pas. Elle jeta un rega

a pluie et son étreinte. Elle ne l'avait pas ramassé intentionnellement. Elle l'avait trouvé là, au sol, à

us profondément l'écriture sombre qui y était tracée. Elle approch

en L

ffle se

Il n'était pas un fan

se était notée en bas. Étrange. Cela ressemblait à un vieux document administrat

ttira son attention, une marque gravée dans le papier, comme un sceau en r

nt brisa l

papier. C'était loin, quelque part en périphérie

lle avait entend

ng se

evait

le bâtisse de l'adresse indiquée. L'immeuble semblait abandonné, ses briques décolorées par le temps, ses fenêtres obscurcies par des rideau

tours. Pas de bruit, pas de mouvement.

a main sur

rm

tomba sur une boîte aux lettres à moitié arrachée, où le no

xist

léger sourire effleura ses lèvres, teinté d'adrénaline.

aturé de quelque chose d'indéfinissable, un mélange de bois

pénombre, meublée de façon spartiate. Une table, quelques chaises, une bibliothèque c

gard tomba s

ouvert y é

ses doigts glisser sur la couverture abîmée. L'e

e. L'écriture était nerveuse, rapid

. Ne pas se laisser v

gts se

alive, son regard continu

us vite. Il est de plus en plus

mac se c

pproche trop...

t derri

urna d'un coup,

sil

tant à tout rompre

elle

tait plu

avant même de le voir. Une ombre, un dé

mi

ndéchiffrable. Son corps semblait tendu, comme s'i

ce que tu

mais il n'y avait a

arnet, le replaça sur le bureau

lais com

sil

un

que mouvement exsudait une force

pas un endr

essa, les po

pas à toi d

assombriren

le voulais, tu ne ser

si c'était une me

savait, c'est qu

e ne recu

nce s'é

tement, i

amais dû me che

omprit qu'il ne parlait pa

tout ce qui

ires nerveux, des regards qui se croisaient avant de s'éloigner aussitôt. Juliette n'écoutait pa

. Depuis une semaine, la ville était en ébullition. Des rumeurs circulaient, se faufilaien

ait pas u

dire qu'ils son

huma

fois, elles avaient une autre consistance. Quelque chose dans la façon dont les gens les chuchotaient, dans la peur q

s sur un groupe de jeunes assis à une table voisine. Ils parlaie

lisière de la forêt. Une ombre, énorme,

onde sait qu'il y a de

re que ça l'a suivi. Qu'il a en

conn

ait des

risson lui remonter

grif

s qu'elle avait ent

fixer la rue à travers la vitre. Elle savait ce qu'elle avait

mi

'était une certitude

é, jetant quelques billets sur la table avant de s'éloigner précipita

referma s

aller voir p

*

s dans l'obscurité. L'odeur de terre humide emplissait ses narin

'elle ne devra

ui criait de f

nre à écouter les avertissements,

orte. Le craquement résonna b

a, retenant

i

rompeur, comme si la forêt ret

nt menée ici, et elle était déterminée à trouver ce qui se cachait derriè

, quelque part

œur b

les muscles tendus,

i

re bruit. P

se contracter. Ce n'éta

bougeait ent

orche accrochée à son sac. Une voix dans sa tête lui souffla qu'ell

pe, balayant la

lat f

x y

glacial l

ssive, trop grande, trop humaine dans sa p

rembla entre

er une question, briser

èvres s'entrouvraien

esse im

ffle se

sentit une présen

pro

rée

ne chaleur brutale ir

était p

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