Rivalités Mafieuses
'attendait. Ce n'était pas une rencontre ordinaire, c'était une dernière tentative pour apaiser la tempête qui menaçait de tout engloutir. Vito Genovese, son ancien allié dev
ce qui pouvait l'être, de prévenir une
e sur ses épaules était déjà écrasant, mais cette rencontre pourrait changer tout cela. Si Vito acceptait de parler, de trouver un terrain d'entente, il pourrait évite
ient marqués par les années, l'air lourd et humide, mais Frank n'y prêta pas attention. Ce qui comptait, c'était la rencontre qui allait se déroule
ensité de la tension. Il n'avait pas besoin de mots pour comprendre ce qui se jouait. Vito, comme toujours, dégageait cette aura d'assurance, comme s'il détenait déjà l
roles de Vito ét
es venu me supplier
en lui. Il savait que cette rencontre n'était pas un simple échange de me
s tous deux que cette guerre détruira tout, que ça soit nous ou nos
t rire sec, presqu
e aussi pathétique ? C'est trop tard, Frank. La guerre est déjà là, et tu le sais aussi bien
ait que l'homme en face de lui ne parlerait pas de paix. Vito avait pri
vant même qu'il ne le lise. L'écran montrait un simple message de Salvatore : *Le quartier de Westbrook. C'es
lair de Vito : pas de négociation. Pas de paix. La guerre était là, et elle venait avec de
bien naïf. Les règles ont changé. C'est toi qui as ouvert la porte. L
le quartier de Westbrook. Il n'y avait plus de place pour la diplomatie. Vito avait franchi la ligne. La guerr
esprit n'était plus qu'une machine à réagir. Les ordres étai
les hommes. Je veux une réponse immédiate. On c
re. *Tout est en feu à Westbrook. Les gens sont dans les rues, ils ne savent
e comptait, chaque décision devait être prise avec la précision
t. Il avait toujours cru en la possibilité de résoudre les conflits sans trop de pertes, mais ce soir, il venait de comprendre quelque chose de terrible. La guerre qu
e d'un homme en colère. C'était celle d'un homme qui devait faire f
brume encore plus épaisse. Des tirs retentirent, des explosions secouèrent les bâtiments, et les sirènes hurlèrent dans une cacop
en arrière. Il savait qu'il venait de franchir une ligne, et que cette guerre, qu'il a
une tentative de paix était désormais devenu une g