Rivalités Mafieuses
rface en verre, hésitant avant de prendre l'appel. Le signal ét
quoi exactement, mais c'est sérieux. Vito Genovese
nne loyauté devenue l'acier d'une lame prête à frapper. Leur relation n'avait pas toujours été ainsi. Il se souvenait encore de leurs premières années, quand tout était plus simple. Quand les rues de New York n'étaient pas encore divisées
tous deux, sans savoir comment ni pourquoi. Mais aujourd'hui, ce fragile équilibre n'existait plus. Il en avait as
avait toujours évité. Parce qu'il le savait, plus rien ne serait jamais pareil après ça. Le sang, une fois versé, n'appartenait plus à celui qui l'avait fait couler. Non, il appartenait à la r
ans son estomac, ne fit qu'aggraver le tourbillon dans sa tête. Vito... Il aurait pu tout avoir. Ils auraient pu tout avoir. Mais l'ambition dévorante de Vito
aire face à celui qu'il considérait, autrefois, comme un frère ? Il serra les poings. Vito, il le connaissait mieux que quiconque. Et il savait exactement comment ce dernier comptait agir. Mais pour la première fois depui
ais rien n'y fit. New York était un monstre qui se nourrissait de ses habitants, de leur souffrance et de leurs rêves brisés. Il n'y
présence. Un homme entra, presque silencieux. Ses traits marqués par le temps et les batailles étaient familiers. Salvat
y a ? demanda Fran
vatore d'une voix basse. Ils ont commencé à b
la machine de Vito avait démarré depuis
mâchoire serrée. Ils n'attenda
ses que Frank ne voulait pas encore affronter. Parce qu'aucune guerre n'était propre.
anda-t-il, la voix légère
met la pression avant qu'ils n'aient le temps de se
la tête. La déci
isage que Frank n'attendait pas. Marcello, l'un de ses anciens associés, un homme qu'il pensait avoir perdu depuis l
t Marcello d'une voix gl
t. Vito, un homme avec qui il avait partagé des rires et des victoires, devenait son pire ennemi. Il n'y av
l veut la guerre, il l'aura, r
l n'avait pas le temps d'expliquer. Le destin de New York se jouait dans les ombres, et cette fois-ci, il n'y avait p
rien derrière elle. Rien que des cendres et des souveni
e les deux hommes, mais il savait que rien ne serait simple. La tension était palpable avant même qu'il franchisse la porte, les échos d'u
de son être criait qu'il ne pouvait plus reculer. Cette réunion était la dernière chance de trouver une issue, un compromis
étal. Leurs regards se croisèrent, un instant suspendu dans l
nir ? Je me demande combien de temps tu
il y avait derrière ces mots. C'était une provocation, une invitation à franchir la ligne. Un défi sil
rler, Vito. Juste po
. Mais Vito, implacable, ne semblait pas intéressé par les compromis. Il se pencha
qui se voulait calme, mais qui trahissait une violence sous-jacente. Tu crois
ito, cet homme impitoyable prêt à tout pour obtenir ce qu'il voulait. Mais il y avait aussi quelque chose
e. Ce n'est pas moi qui ai voulu cette guerre. C'est toi qui as décidé
rire sans joie, froid co
uilibre. C'est un monde où l'un doit dominer l'autre. C'est un monde où seul le p
on regard devenan
a appris une chose : tu peux croire à l'équilibre, tu peux te cacher derrière tes manœuvre
ement ce qu'il avait redouté. Mais il ne pouvait pas se permettre de se laisser empo
che une chose, je ne laisserai pas New York tomber dans le
e victoire facile. Frank savait que cette confrontation n'était qu'un prélude. Les menaces sous-jacentes étaient aussi tranchantes qu'un rasoir, et
ant plus basse, plus menaçante. Tu veux essayer d'arrêter
elle était la clé du bras de fer qui allait se jouer. S'il répondait à l'insulte, il
oix plus ferme cette fois. Mais je ne vais pas t'acheter avec des par
son regard se du
oublie jamais une chose : un homme com
ature. C'était le froid de la trahison, du sang déjà versé, du pouvoir qui se jouait à chaque mouvement. Le monde qu'ils s'étaient
lme mais lourde de sens. Tu as fait ton choix, et moi a
s un sourire amical. C'était un
le commence déjà. Et c'
sous le poids de cette vérité. Il n'y avait plus de paix possible. Plus de comprom
èce. La réalité frappait comme un marteau, chaque coup résonnan
u'il ne pourrait pas arrêter la machine. Il fallait maintenant avancer, chaque
utait. C'était la fin de son amitié avec Vito. La fin de tout ce qu'il avait cru être. Parce qu