icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
La silhouette fugitive: l'amour comme une illusion

La silhouette fugitive: l'amour comme une illusion

icon

Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 1666    |    Mis à jour : 21/03/2025

nalement sa tempe. Sur l'écran de son ordinateur, les lignes noires de son plan s'alignaient parfaitement, rigoure

ssitude lui écrasa la poitrine, mais il ne bougea pas. Son appartement était silencieux, immobile, baigné dans cett

soir, après des heures à aligner des murs, des colonnes et des escaliers sur son écran, il s'autorisait une pause. N

c soin. Rien ne dépassait. Un canapé en cuir sombre, une table basse en verre, une bibliothèque parfaitemen

'était pas qu'il s'ennuyait. Non, l'ennui était un luxe qu'il ne se permettait pas. C'était autre chose. Une sensation diffus

vivante, une constellation de lumières palpitantes sous la nuit. Il aurait dû ressentir une forme d'apaisement, mais ce fut

. Il ne les enviait pas. Il ne les comprenait pas non plus. Ceux qui cherchaient les excès, l

son attention. Il se détourna lentement de la fen

ravail ? Tu de

èvres. Claire. La seule personne

téléphone. Une relation facile, sans complications. Il savait qu'elle espérait plus

its tendus, regard froid, mâchoire crispée par l'habitude. Il était cet homme que tout le monde admirait s

nçait à s'ouvrir. Une sensation étrange. Comme si quelque chose, o

nça dans l'obscurité, ignorant l

urte. À côté de lui, une silhouette féminine remua dans l'obscurité, un soupir las effleurant l'air avant qu'elle ne se

n épaule. Un nom lui revint en mémoire – Julie, ou peut-être Justine.

avait exactement comment se retirer sans provoquer de réveil maladroit, sans donner lieu à une conversation inutile. Ce n'était pas de l

au plan de travail, fixant son reflet dans la vitre qui donnait sur la ville encore endormie. Un

orées après quelques nuits. Toutes s'étaient terminées de la même façon : un silence, une absence,

lui co

utile. Il ne comprenait pas ces élans irrépressibles, ces dépendances qui poussaient certains à se consumer les uns

nt où elle apparaissait dans l'encadrement de la porte, un drap enroulé autour

partir sans

ée de café, laissant la chaleur glisser dans sa go

que tu préf

il, croisant les bra

aussi dét

lèvres, un masque qu'il sa

jamais men

ust

ust

dupe, aucune ne l'était vraiment. Elles espéraient simplement être l'exception, celle qui brisera

assé une bonne soirée, reprit-e

toujours cette cou

Ou

ésitation. Mais il n'y avait rien à trouver. Finalement, elle l

e, Sylvain. Un m

etenir. Il aurait pu dire quelque chose qui donnerait un autre tournant à leur

fragile qui ne tenait que sur des attentes irréa

sentit un étrange pressentiment. Comme si, quelque par

ur le bureau dans un bruit sec. Sylvain s'arrêta, observant l'objet comme s'il venai

es lignes droites s'embrouillaient devant ses yeux, les proportions qu'il traçait av

Fatigue. Probablement. Ou peut-être autre chose

l'horloge accrochée au

'habitude, le travail était son refuge. L'endroit où tout faisait sens, où chaque élément

frigérateur sans même savoir ce qu'il cherchait. Après qu

faim. Il n'av

depuis quand ce malaise l'habitait, seulement qu'il était là, présent sous la surface, prêt à éclater à tou

ait sortir. Respirer. Peut-être que l'air froi

cis. Paris à cette heure-là avait quelque chose de différent. Plus silencieux, plus intime. Il marcha san

'arr

r de pourquoi il était là. Pourtant, ses pie

res sur une étagère. Elle ne le remarqua

vait senti sa présenc

de Sylvain

plicable, remonta le long

chose en lui réagissait violemment à sa présence. C

lui adressa un sourire. Rien d

vait pas à dét

d'une manière ou d'une autre, il

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir