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L'Alpha Maudit

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1277    |    Mis à jour : 21/03/2025

tait hors d'usage. Et maintenant, le puma était mort. Il se demanda vagueme

éo, mais son meilleur ami était introuvable. Sûrement coincé à cette maudite réunion parents-professeurs qui, Léo en était persuadé, s'était mieux passé que la sien

être que ses parents lui avaient confisqué son téléphone... ou pire, s

t de pompes jusqu'à ce que ses muscles crient grâce. Puis, il avait pris une douche rapid

iant de la journée," marmonna-t-il, fermant le

dis qu'il enfonçait son visage dans l'ore

sur le côté, s'attendant à sentir la douceur de son matelas... mais son co

e. Il était torse nu, seulement vêtu de son boxer, les pieds nus s'enfonçant dans la terre humi

a fu

f

Il y avait trop de fumée, trop d'odeurs mêlées pour distinguer la source exacte. La panique animale menaçait

dans la terre... identique à celui où il s'était réveillé la t

la gorge sèche. Mais c'était tro

le cœur battant à tout rompre, tandis que la forêt s'embrasait autour de lui. Chaque respiration lui brûl

fondrer dans une gerbe d'étincelles. Les flammes rampaient le long des troncs, s'élevant vers les cieux comm

L

anglante.

errée. Pourtant, elle était là, suspendue dans le ciel noir, irr

pieds glissant sur le tapis humide de feuilles et de cendres. Chaque pas était un combat contre la douleur qui lui broyai

yeux brillants le fixaient un instant avant de disparaître. La c Wolfeur lui mordait la peau. Des braises tourbillonnaient dans l'air

t de venir. La fumée s'insinuait dans ses poumons, l'étouffant. Son esprit paniqua : son inh

ensa-t-il, les larm

a sur lui-même tandis qu'un frisson glacé parcourait sa colonne vertébrale. Sa vision se troubla, et soudain, tout devint rouge

corps, sentait maintenant une puissance inédite le déchire

était qu'un asthmatique

s la lune de sang, il d

'écrasant à quelques pas de lui, projetant une pluie d'étincelles brûlantes. Il roula sur le côté, le souffle court, puis se redressa d'un bond, les muscl

urgit de l'obscurité, fuyant la menace invisible. Les bêtes, affolées, le percutèrent de plein fouet, le renversant dans une chute vertigineuse le long de la colline. I

e branche basse, Wolf étant, les muscles endoloris. À peine eut-il retrouvé son équilibre qu'une boule de feu s'écrasa contre l'écorce, frôlant ses jambe

sous l'intensité du brasier. Chaque pas était une torture, mais il n'avait pas le luxe de s'arrêter. Il grimpa la pente,

il le

intensité glaciale. Le monde sembla s'arrêter. Il sentit le poids de ce regard s'abattre sur lui, une force ancienne, brute, emplie de rage et de pouvoi

té murmur

avait beau résister, il se surprit à avancer sans même en avoir conscience, comme un

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