: Un Mariage Inattendu pour Mademoiselle la PDG
pit
on. Alors, quand il entra dans le salon de leur appartement commun pour y trouver Camille, la tête entre les bras de son associé, il s'arrêta un instant, pris de court. La scène était tro
ix perça dans l'air
se détacha de l'homme, un sourire forcé aux lèvres. Un sourire qu'il connaissait bien. Elle se
oix calme, comme si elle parlait d'un sujet banal. «
fond de lui : et si elle ne l'avait jamais aimé pour ce qu'il était, pour ce qu'il représentait, mais
s avaient quelque chose, mais tout était un mensonge. Camille, son associée, l'ami qu'il a
menti, » m
e importance. « Faut bien avancer dans la vie. T'es trop
. L'homme qu'il avait été jusqu'à ce soir-là s'éteignait dans cet appartement trop parfait, trop
te. Il ne voulait pas la frapper. Il ne voulait même pas la toucher. Mais le vide dans sa poitrine était devenu
omber sur le canapé, les mains sur les yeux, en proie à une rage qu'il n'avait jamais ressentie. C'était comme si on venait de lui arr
qui était entré quelques heures plus tôt. Il n'était plus celui qui avait cru en l'amour, en ce
t besoin d'oubli, d'alcool. Il s'habilla mécaniquement, les gestes vides de sens, et sortit dans la nuit. La ville l'attendait, avec son anonymat, sa
ême but. Il s'installa au bar, comanda une vodka, puis une autre. L'alcool se glissait en lui comme un baume, sans toutefois anesthésier la douleur. Elle était là, bien réel
n sourire. Pas l'homme qu'on attend dans ce genre de lieux. Mais Louis n'avait pl
u monde sur tes épaules, mon ami,
lui répondre dans un souffle : « Je me suis fait avo
femme, c'est le diable quand elle veut. » Il observa Louis un instant, se penchant un peu plus p
tôme dans ce bar. Il se retourna et fixa l'écran de télé, les images floues dans sa vision noyée d'alco
son s'estompait à peine, mais la fureur brûlait en lui de plus en plus. À quel moment ça allait se terminer, tout ça ? Combien
it où tu pourras te vider la tête, » dit l'h
tête pleine de tout ce qu'il n'avait jamais voulu voir. Il suivit l'ho