L'étreinte de la malédiction
. Les silhouettes se découpaient dans la brume, leurs yeux rougeoyants perçant l'obscurité comme
ait qui i
ns de la m
poids de son courroux. Ils ne parlaient pas, ne négociaient pas. Leur seule mis
émanait de lui une force implacable, une autorité brute qui aurai
pas des enne
le s
, le frôlant à peine, mai
arrière,
rra les
pour moi, Kael
t devoir passer
nait pas. Il ne comprenait toujours pas. Ce
Un être qui ne connaissait que la lutte et la domi
r assaill
ature en une fraction de seconde. Il la projeta violemment contre un tronc d'arbre, un craquement sinistre résonnant d
nt. L'air vibra autour de lui, son pouvoir pul
taient tro
t la paniqu
pas le laisser l
bouillonner en elle, une force qu'elle avait toujours ten
avés sur sa pea
nait ni d'un loup, ni d'un humain. Une onde de choc ex
a tête vers e
pulsa dans son crâne. Elle sentit le sol se dérober sous ses pied
a
aussi de quelque chose d'autre. Quelque chose
compré
es ? demanda-t-il
pas la force
ité l'en
science et néant, bercé par une vague de douleur sourde. Des fragments de souvenirs tournaient dans sa tête, des éclats d'un passé qu'elle ten
les yeux da
feu de cheminée. L'air portait l'odeur de la résine et de la terre humide, un parfum familier et apai
enfin ré
imprégnée d'un mélange de s
a
sur son torse nu, où une bande de tissu tâchée de sang entourait son épaule blessée. Se
? murmura-t-elle
hez
rcils. La cabane d'un Alpha ?
urqu
cha un gémissement. En un instant, Kael fut sur elle
bouge
écharge brûlante dans tout son être. Elle aurait dû
-tu amenée ici
egard la scruta, cherchant des réponses q
que tu e
pèrent comme
a brièveme
No
pas. Il ne fla
on âme sœ
ntendre de sa bouche rendait
omprends
expliq
ord du lit, son reg
tourna
comprendre que chaque minute passée à
n à expliquer,
patience visi
hier soir. Ce pouvoir..
a lenteme
ié à la ma
e maléd
it son cœu
ne jamais avoir à
ne pouvait
s de toi trop longt
git pas imm
un sourire amer
ment que je vai
es larmes lui
uestion de choix, Ka
esant s'abat
vement fluide,
moyen de briser
tait une
le regard, le c
prenait p
ôt, il com
uand son souffle se ferait plus co
t viendrait
ir avant qu'il n