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La quête de l'âme égarée

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1140    |    Mis à jour : 18/03/2025

pit

visage. Cela faisait maintenant trois jours qu'elle avait fui. Trois jours qu'elle avait effacé chaque trace d'elle-même, brûlé les ponts, abandon

Rien à voir avec le monde qu'elle avait dirigé d'une main de fer. Ici, les rues étaient étroites, les maisons vieillottes, et le

t le renfermé et la cire à bois. La propriétaire, une femme d'une soixantai

s ici pour

pas, avait ré

'ordinaire acéré, était devenu fuyant. Elle se sentait nue sans son armure, sans s

t d'absorber les codes de ce monde si différent du sien. Ils parlaient de récoltes, de pannes de voiture, de rumeurs sans importance. Personn

ourée, toujours sollicitée. Mais ici, personne n'avait besoin d'elle. Person

in la percuta en courant. Elle s'apprêtait à lui lanc

lé, ma

de la crainte, comme s'il avait peur qu'elle l

n'est

, troublée. Pourquoi s'était-il excusé avec autant d'empressement

iroir lui sauta aux yeux. Une femme fatiguée, aux traits tirés, aux épaules raidies

ession d'être enfermée dans une prison. Elle ferma les yeux, espérant que le

chose avait glissé sous la porte. Une env

s et l'ouvrit. À l'intérieur, un simple bout de pap

ais qui

nt le papier, son cœur battant à tout rompre. Quelq

ais la rue en contrebas était déserte. Elle ouvrit la porte d'u

n'avait laissé aucune trace. Était-ce une coïn

a main sur sa poitrine comme si cela pou

encore ? Mais où ? Elle n'a

le message toujours serré dans sa main. Au mat

doit pa

e une demande. Mais une deman

it jamais reculé devant une confrontation

dit sa peau, mais elle continua d'avancer, cherchant du regard qu

homme était assis à une table du fond, seul, un café devant lui. Lorsqu

s que vous

t calme, pre

Un homme d'une quarantaine d'années, au regard perçant

êtes

égèrement l

n ennemi. Tout

es poings so

voulez

illère dans son café

en compliqué

un son sec

raiment que je vais travaill

laissa pa

s dans une position où

cela. Comme s'il savait. Comme s'il p

z rien de moi,

sou

tion. Vous avez fait tomber des hommes puissants, brisé des vies pour asseoir votre règne. Et

resta

rement en avant,

e identité. Vous savez ce q

erait traquée, arrê

ivit-il, nous trou

hurlait de se lever, de partir, de refuser.

ux et fixa l'homme

que vous att

comme s'il venait de ga

ns bien nou

e d'un monde qu'elle avait cru laissé derrière elle. Mais

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