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Prisonnière de son désir

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1756    |    Mis à jour : 13/03/2025

ait parfaitement détendu, comme si ma présence ici n'était qu'une formalité. Moi, en rev

'expliquer m

yeux vers

liquer

oi comme ça. Pourquoi tu as déc

on verre avant de le po

que c'est

ur se

objet, Adrian. Tu n'as

, et il se pencha en avant, pos

re m'en a

ai les s

Quoi

bré restant dans son verre,

a laissé une de

monta le long de ma

le. Mon père n'a

ment. **Tu crois qu'il était un simple homme d'affair

ai les

parfait. Mais ça ne veut pas

rcil, visiblement di

is il m'a fait une promesse. Et

se dérober s

u men

i crois-tu que ces hommes te poursuivent ? Pourquoi crois-tu

ur protester, mais au

nua, imp

elque chose d'inestimable. Et pour com

s téta

est fa

lentement et s'

ue tu l'acceptes ou no

mais il me suivit, réduisa

x. Je t'offre une chance

i la tête

st-ce que t

s'étira sur

loyau

oquai p

... qu

s-toi. Mais ton avenir est à moi. Tes choix sont à moi. Tant

panique mon

avoir une autr

a les bras, faussement curieux. **Dis

Il fallait que je trouve une

l'arg

ata de

crois vraiment que je

églu

informat

tête sur le c

ur qu

e d'utile pour toi. Quelque chose qui

près que je pouvais senti

ignon. Mais

garder mon

rête à faire

rd s'ass

ien à marchan

ait mon prénom. Il l'avait dit lenteme

isson

toujours

cette

mèche de mes cheveux avant de l

tu peux te battre. Mais tu fais déjà pa

ion se fit

*No

*Si

me laissant un mince

aisser le temps

gardai,

de comprend

ais il était plus som

ais eu d'autre dest

talons et se diri

sortir, i

u l'acceptes maintenant ou pl

laqua derr

oup d'œil par la fenêtre de ma chambre. La nuit était tombée depuis des heures, et le campus était plongé dans un calme presque oppressant

s, je serais à jamais piégée dans son monde. Il prétendait être mon protecteur, mais il n'était

t en liquide, une fausse carte d'identité que j'avais trouvée grâce à une amie

enant mon souffle. Chaque pas me semblait assourdissant dans le silen

e de service derrière la bibliothèque. Si mon plan fonctionnait, d'ici quelques heures, j

le dortoir. Mon cœur battait à tout rompre, mais je forçai mes jamb

nant de voir surgir une silhouette familière. Mais il n'y avait que des étudiants ivres q

ation. Et si Adrian avait prévu cette possibili

ais pas laisser la

isparaître dans la masse. Quelques passagers étaient dispers

que bâtiment s'effaçant peu à peu derrière moi.

, c'est ce

rissonner. J'essayai d'ignorer l'angoisse, me répétant qu

e, en bordure de la ville. Je devais desc

brise glacée me fit frissonner. Je serrai

vraiment pouvoi

it calme. T

ng se

tai len

mains dans les poches de son manteau sombre. Il me regardait avec un

mment.

même pas à pos

s'élargit

sais pouvoir partir sans laisser de trace ?** Il sec

que j'avais l'impressio

s le droit de

un sourc

e dro

oi, si proche que je dus lever l

Elena. C'est une question de réalité.

bjet !** explosai-je, r

e je ne puisse fuir, serrant juste a

imple objet. Et c'est justement pour ça qu

me tira vers lui avec un

e-moi, A

e m'attirer brusqu

fle était chaud contre mon oreille, sa voix si basse

dit pas ma

e souleva sans effort et me hissa sur

an ! Pos

son dos, me débattant

oter, sinon je t

e, presque paresseux, mais je n'avais aucun

ent, puis une porti

ne monterai pas dan

rop t

e arrière avant de refermer

ieux vers lui lorsqu'il

peux pas f

ses doigts tapotant d

ens de le

a lèvre, tremb

as me forcer à r

rs moi, son regard s

parlé de

pause, pu

te montrer que tu n'a

oigna lentement

t la voiture tandis que nous roulions dans un silence oppressant. Je regardais par la fenêtre, tentant

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