Prisonnière de son désir

it chez lui. Ses yeux, d'un gris perçant, s'ancrèrent dans les miens.

ri

s fermer ta p

e lui, sans la verrouiller, comme pour me rapp

usquement, rec

de chez

èrement un so

ns juste d

respiration

nt tu es

as besoin d'i

pas fait un geste menaçant, mais sa s

emandai-je d'une voix plus trem

er mon appartement, comme s'i

proté

erveux m'

as besoin de

gard sur moi, int

trompe

, essayant de masqu

uoi maint

et je reculai i

. Parce que ton père t'a laissée un h

ai les

x rien de lui

mais ce n'était pas

pas à toi d

un instant

t c'est qui, a

ement. Il me jaugeait, comm

rement vers moi, et sa

oi, o

on me pa

olonté. Je n'étais pas un pion dans un jeu

ers la porte, attrapai la po

ion de seconde, A

la porte avant que je ne puisse l'ouvrir. Mon souffle

nulle part

orps derrière moi, la force c

oi partir,**

un instant. Puis, le

ai, le cœur t

jusqu'à

omac se

ur quo

ur cho

se fit pl

ton plein gré... soit j

tait entré, il tourna les tal

apable de bouger, in

cru être

ais été.La normalité. C'était ce que je voula

ait me protéger de lui. De ce qu'il représentait. J'avais passé la nuit à fixer le plafond, repassant en boucle ses

ne décision : faire comme si

'épaule, m'efforçant de paraître normale.

n'était pas

sentis ce poids invisible sur mes épaules

me convaincre que tout était dans ma tête. Mais plus j

je le

ri

inguait immédiatement des étudiants autour de lui. Son regard était

lant de ne

hemin, le cœur bat

as. Il se cont

sen

x que je ne pourrai

s incapable de me concentrer, jetant des regards furtifs vers la fenê

à la bibliothèque. Un endroit public. Un endroit o

Les rangées de livres formaient un labyrinthe silencieux, et je

ain pour attraper un livre, un

e réagir, une main se

l'air bie

lleuse. Un frisson d'ale

ournai br

ec un sourire en coin qui ne l

chez-m

erra sa

non. On doit par

. Ce n'était pas un simple dragu

égager, mais sa p

voir nous ignore

nce

t que dans

mac se r

inspiration

vais cr

rire s'

si quelqu'un a

un peu plus

me débattre, faire

il me lâcha

arrière, le

nt moi,

'homme, le poussant contre l'étagè

e faire une gr

était gl

tester, mais Adrian r

lui parler !** balbutia-t

impassible, puis avec une précision chirurgicale,

choc me fi

d'elle et je t'ar

hésitation dans sa

nsait ré

iquement la tête, le

ment, et il s'écroula au

trine soulevée par des

pendant une fraction de seco

vas b

is pas quo

comme si j'étais un ani

e tu as compri

is avec d

pris qu

ste lent mais implacable,

n'as plus l

mais sa prise était ferme

drian

de autour

le

urs au sol, en train de

pas lui qui atti

t les

is jamais remarqués auparavant, disséminés d

e n'est qu'une question de temps avant qu'i

omac se

mme s'il me laissait absorb

jouta, pl

hose qui te maintient

tête, recula

s... Je ne veux p

rd s'ass

as une questio

x vers lui, trem

er que ma vie m'échappe ? Que tu pren

t, son visage à quelqu

tement ce que

ffle se

rit-il. **Soit tu me suis maintenant... soi

étira entre n

u'il disait

i Adrian, pas tant par choix que par nécessité. Son avertissement résonnait encore dans ma tête : **"Soit tu me suis maintenant, soit je t'emmène de force la p