La Prophétie de l'Alpha et la Compagne Maudite

pit

ue chose clochait. L'air, même trop pur, portait une tension sourde, comme si le monde autour de lui se préparait à une bataille qu'il n'avait pas encore vue. Il ferma

dans sa direction. Chaque nuit, elle devenait un peu plus réelle, un peu plus définie. Chaque nuit, il se réveillait en sueur, un mal de tête brutal fra

ssait si bien. Un craquement à sa droite, léger mais distinct, attira son attention. Damien se redressa, ses muscl

écisait à chaque instant. Une femme. Il n'avait pas besoin de plus d'informations pour savoir que quelque chose d'étrange se passait. Cette présence, il la reconnaissait maintenant,

, et tout autour d'eux sembla s'arrêter. Il y avait un lien, inexplicable, inévitable, mais qui se tordait dans son esprit. Un lien

d, une énergie qu'il n'avait pas encore identifiée. Elle avait peur, mais il y avait aussi de la détermination. Et quelque chose d'e

mais il savait qu'il ne pouvait pas l'ignorer. Elle non plus. Elle était là pour lui, et

r l'odeur de sa peau. Le monde autour d'eux semblait rétrécir, comme si tout, même les éléments eux-mêmes, retenaient leur souffle. Elle leva la main, hésitant un in

n, une image. Il se vit, une silhouette presque identique à celle de la femme, mais elle semblait différente. Le décor était flou, et pourtant, il pouvait voir son visage, l

tte vision. Il se voyait tombant, blessé, les yeux d'Isabelle fixés sur lui. Et p

nue, mais l'empreinte de la peur demeurait. Il balaya la forêt du regard, puis se tourna lentement vers la femme, qui le fixait à prése

ts lui échappant avant qu'il n'ait pu les maî

e parler la rendait plus vulnérable. Puis, sans un mot, elle se détourna de lui, reculant d'un pas. Il la suivit du regard, et c'e

e passe..." murmu

orsqu'elle les ouvrit à nouveau, il y avait une lueur de colère et de tristesse dans son regard.

le sien. Il ne l'avait pas choisi. Il ne l'avait pas voulu. Mais il n'avait pas le choix. Il comprenait maintenant que tout était é

," dit-elle, coupant net les pen

ns chaque fibre de son corps. Mais le plus grand danger n'était pas

piter à sa suite, conscient que son monde venait de b