La Prophétie de l'Alpha et la Compagne Maudite
pit
ciennes, un frisson étrange parcourut son dos. C'était un accident, ou peut-être pas. Ses doigts tremblants l'avaient ouvert avant même qu'elle n'y réfléchisse. La couverture, usée par le temps, ne semblait pas vouloir céder sous
ls semblaient la toucher au plus profond d'elle-même. Le sens des phrases se forma, même si son esprit hurlait pour l'arrêter, pour la prévenir qu'elle franc
sous son amour, et son cœur sera brisé, empor
nspercée. Elle se leva brusquement, renversant la vieille chaise en bois. La pièce, calme et silencieuse, semblait se resserrer autour
e qu'elle avait besoin de savoir. Parce qu'elle n'avait plus le choix. Et maintenant, une vérité qu'elle n'aurait jamais voulu affronter s'imposait à elle : elle n
rien ne pouvait masquer l'inquiétude grandissante dans sa poitrine, celle qui se faufilait sous sa peau comme un pois
Liza ? » murmura-t-elle, les yeux remplis de
vie, elle l'avait protégée, l'avait cachée, mais à quel prix ? Pourquoi ne lui avait-elle pas dit la vérité ? Pourquoi l'avait-elle condamnée
lus étouffé. Elle se leva brusquement, ses yeux scrutant la porte. C'était le bruit d'u
s rideaux, mais il faisait trop sombre dehors. Pourtant, elle s
était-elle ? Isabelle aurait dû le savoir, mais la peur avait pris le dessus, obscu
elques objets qui ne pouvaient pas apaiser la tourmente dans son esprit. Elle n'avait pas le temps de réfléchir, pas le temps de pleurer. Les pas dans le couloir se rappr
r frais de la nuit. Il portait une veste sombre, son regard perçant la fixant. Isabelle recula d'un pas. Il av
promettait rien de bon. « Tu
le connaissait pas, mais il savait qui elle éta
une voix ferme, mais tremblante d'une
temps que tu comprennes, Isabelle. I
artir, de fuir, mais il était trop tard. Une autre silhouette émergea dans l'om
ne main ferme se posa sur son épaule. Un simple contact, mais il la fit s'immobiliser. Elle tourna la tête lentement, croisant l
y avait autre chose. Un danger, un tourbillon de pouvoir qui la faisait suffoquer. Et c'était tout ce