Le Retour de la Compagne Oubliée
es liens ne sont pas ce que l'on croit. Parfois, ce qui semble être une bénédiction est en réalité une malédiction, et ce qui paraît être une promesse se transforme en un poids insupportabl
acités, son existence même commençaient à le trah
d perdu dans les vastes étendues de forêt qui entouraient la meute. Elle avait l'impression d'être observée, même ici, dans la sécurité de cet ancien fief. Mais ce
ir le monde. Depuis qu'ils étaient arrivés, elle avait veillé sur lui, cherchant à comprendre ses nouveaux pouvoirs. Des pouvoirs étranges, des pouvoirs qu'aucun enfant
it trembler sous ses pas. Ses yeux brillaient d'une lueur dorée, mais ce n'était pas la lueur d'un loup-garou ordinaire. C'était la lueur d'un po
me il le faisait souvent, comme s'il était chez lui. Il n'avait pas besoin d'être invité. Il l'avait toujours dominée ainsi, m
ppose, » dit-il d'un ton q
r de chaleur. « Je n'ai jamais dormi ici, Nikolai. Pa
ourcils. »Tu n'as
vres pincées. « Je n'ai pas confiance
que la méfiance qu'elle nourrissait à son égard n'était pas sans raison. Mais il espérait qu'un jour, avec le
, interrompant ses pensées. « Il m
l n'est pas comme les autres. Je ne sais pas ce qu'il est e
s vu un enfant si jeune manifester un tel pouvoir. C'est... c'es
comprends pas. Tu ne sais pas ce qu'il a enduré. Ni ce qu'il porte en lui. C'est po
es bons gestes. « Ce n'est pas ce que je veux, Freya. Tu sais
ir, cette force, il n'est pas censé la posséder. Et pourtant, il
ent. « Tu veux me dire ce qui te fait vraiment peur, Freya. Ce n'est pas seuleme
veux pas que vous l'utilisiez, Nikolai. Pas comme vous m'avez utilisée. Je ne veux pas qu'il devienne u
contrit. « Je ne ferai ja
y croire aveuglément. Elle ne savait même pas si elle avait encore le droit d'espérer quelque chose de vrai. Tout ce qu'elle savait, c'
semblée dans la grande salle. Nikolai, debout à ses côtés, observait la scène avec un calme que Freya enviait.
l a des pouvoirs puissants. Bien plus puissants que ce que l'on pourrait imaginer. Et il n'est pas qu
regards curieux, des voix sourdes de mécontentement. Certains ne comprenaie
de scepticisme. « Et tu veux qu'on le traite comme
lus sage que beaucoup. Il n'était pas du genre à se laisser influencer par les émotions.
aque geste, dans chaque parole qui aurait pu être mal interprétée. La meute était fragile. La meute était divisée. Et elle n'était pas sûre d
s un coin de la pièce, les yeux écarquillés, observant la scène d'un air perplexe. Ses yeux bri
nda-t-elle, tendant la main
le, son regard intense. « Maman, » dit-il d'une voix sérieuse, trop sérieuse pour un enfant
e telle certitude, une telle force. Il était plus qu'un simple enfant. Il ét
« Tu ne dois pas t'en ser
était déjà trop tard. Les Liens du Sang avaient