La Chute de l'Alpha
pit
étaient liés par un fil invisible, un lien plus fort que tout, celui des Alphas et de leurs compagnons. Mais ce soir, ce soir-là, ce fil s'était rompu avec un écla
t résonné comme une cloche dans son esprit, écho d'une vérité qu'elle refusait d'admettre. « Tu es faible, Chloé. Et je ne peu
de comprendre. Gabriel, l'homme qu'elle avait aimé, celui qui était censé la protéger, qui lui avait promis que rien ne les sép
Elle est finie, » avait murmuré un autre. Ces mots, ces voix, ces regards pleins de dédain... ils la déchiraient. Elle s'était sentie comme une proie, abandonnée, un corps sans âme. Ce n'éta
et brutal. Une porte qui se fermait. Et elle, là, en dehors de tout, comme une étran
lus rien à perdre. Elle n'avait plus rien à espérer. La douleur dans son cœur était insupportable, mais il y avait aussi
cation ? Elle avait besoin de comprendre. Elle en mourrait d'envie. Mais la vérité, c'était que même si elle la connaissait, elle ne serait peut-être pas capab
Gabriel, l'Alpha, avait parlé. Et tout le monde avait accepté. Elle était partie dans la nuit, son cœur battant fort dans sa poitrine. Elle ne voulait pas
d'importance. Elle était devenue une étrangère parmi les siens, et elle savait
onné la meute, mais elle s'était aussi abandonnée elle-même. Elle n'était plus la Chloé qu'elle avait été. Elle n'était plus la compagne de Gabriel. El
lle ne pouvait s'arrêter. Pas encore. Pas maintenant. La colère bouillonnait en elle, toujours là, prête à déborder. Elle avait bes
ses lèvres. Pourquoi Gabriel l'avait-il rejetée de cette manière ? Pourquoi lui avoir infligé cette douleur ? Elle n'avait jamais voulu ça. Elle avait donné tout ce qu'elle avai
. Pas de larmes. Pas pour lui. Pas pour un homme qui l'avait trah
bscurité, elle distingua une silhouette. Un loup. La silhouette s'approcha lentement, mais e
e compréhension. Elle le connaissait. Ce loup-là, elle l'avait vu dans la meute. Un
ndit-elle, la voix tremblante, mais résolue.
leur et son désir de fuir. Mais à l'intérieur d'elle, quelque chose avait changé. La résignation commenç
rdu. Mais en attendant, elle devait disparaître. Elle devait se reconstruire, se fortifier.