La Chute de l'Alpha

pit

t où elle avait été capturée. C'était... différent. Pas de sol rugueux, pas de branches qui griffaient sa peau. Au lieu de cela, elle était allongée sur une surface dure, mais lisse, comme du métal. Un sil

rand, imposant. Sa silhouette noire contrastait avec la pâleur de la lumière qui venait d'une source qu'elle n'arrivait pas à identi

dit-il d'une voix gra

ouée, mais son esprit restait embrouill

t-elle à demander, mais sa

it-il, et il y avait un poids particulier dans ce simple mot, comme s'il portait toute une histoire qu'el

. Chaque mouvement semblait une épreuve. Mais elle n'était pas une

pesant lourdement sur ses lèvres. Elle savait ce qu'ils chercha

e. « Tu ne seras pas un fardeau, » dit-il, presque comme une promesse. « Tu vas être forte, ou tu vas mourir. » Son ton était sec, tranchant. Pas de

n'y en avait pas. Il n'y avait plus de réconfort, plus de sécurité. Plus de protection. Gabriel avait disparu de sa vie, comme une ombre balayée par un vent violent, et tout ce

aible mais déterminée. « Je veux savoir ce qui s'est

tu veux comprendre, ce ne sont que des chaines. Un poids que tu dois jeter si tu veux être libre. » Il se redressa, regardant au loin, comme s'il pensait à autre chose, à un autre moment. « Si tu veux savoi

r é ». « Et si je refuse ? » de

rs tu peux partir, » dit-il simplement. « Mais ne crois pas que

mais elle ne pouvait pas se laisser couler dans le désespoir. Pas après tout ce qu'elle avait traversé. Elle devait redev

rt. « Je vais suivre ton marché. Mais je le fais à ma façon. Et si tu me mens... » Elle s'arrêta

une arme, Chloé. » Il se tourna vers un autre membre du clan, un homme qui s'était c

r des émotions inutiles. Il lui apprit à se battre, à se défendre, à devenir plus que ce qu'elle avait été. Il ne la coucha pas dans un lit et ne l

ou un silence glacial. Mais elle se releva. Chaque fois, elle se releva. Elle n'ava

Lucian ne l'avait anticipé, comme si quelque chose en elle se réveillait, une partie d'elle qu'elle avait enfouie sous des couches de douleu

e mouvement, chaque instant était une épreuve. Mais elle savait que c'éta

moindre hésitation. « Tu n'es pas là pour te défendre, » lui dit-il un jour, sa

n regard était plus vive que jamais. « Je ne vais pas hésiter, » répondit-elle, chaque mot

portait aucune chaleur. « C'est ex