La Chute de l'Alpha
pit
loé n'arrivait pas à s'en débarrasser, même si elle courait, même si elle fuyait. Son loup hurlait, griffant, blessant. Il ne
aviver. Mais à chaque pas, à chaque seconde, il se distendait un peu plus. Il n'était plus solide, plu
son passage. Son nom, son odeur, son cœur. Gabriel ne la laisserait pas disparaître sans rien faire. Et il y avait d'autres prédateurs. D'autres ennemis qui sauraie
de son passé. Elle le laissait derrière elle, même si chaque étape était un coup de poignard dans le cœur. Elle savait que c'était nécessa
sans compter
stinct de sa part l'avertit avant qu'elle n'ait le temps de réagir, et en un instant, elle tou
de ce qu'elle au
mais des hommes. Des humains, peut-être, mais la tension dans l'air la fit douter. Ils se déplaçaient comme des prédateurs, se faufilant dans l
t par le bras avec une force implacable. Elle riposta, griffant et mordant, mais le
re sa gorge, la lame froide contre sa peau. La terreur monta da
'analyser, d'y prêter attention. Elle se battait contre la panique qui montait, c
uteau se relâcher légèrement. Ils n'étaient pas là pour la tuer, pa
savait qu'elle devait garder son calme. Chaque erreur pourrait être fa
er palpable dans l'air. Ils avaient vu son statut. Ils savaient qui elle était. Et ils voulaient l'utiliser. « Nous avons des alliés. D
ais avant qu'elle ne puisse s'échapper, une douleur fulgurante lui traversa le crâne. Un coup brutal, assén
vait pas où elle était. Elle ne savait pas combien de temps elle était restée inconsciente. Elle se redressa, mais une douleur aiguë au niveau de son crâne
des parfums étranges. Des herbes. De la sueur.
ix était plus douce, mais elle n'était pas aussi rassurante qu'e
dans son regard. Pas un loup, mais... un hybride. Elle n'arrivait pas à définir ce qu'il était exactement, mai
emanda-t-elle, sa voi
» répondit-il simpleme
s de les avoir vus avant. « Et pourquoi m'avez-vous sauvée ? » La question brûlait ses lèvres. Si
uestion ne valait pas la peine d'être répondue. « Parce que nous avons besoin
des indices dans son regard. « Et qu
ons des ennemis en commun. Et tu n'e
es choix, ses actions, les amèneraient tous à un carrefour qu'elle ne pouvait encore comprendre. Elle n'avait aucune idée de ce q