La secrétaire du milliardaire
n mélange de verre et d'acier, reflet de l'image qu'il voulait transmettre : une puissance inébranlable et une réussite qui ne connaissait aucune
e vide persistait, une absence qu'il ne parvenait pas à combler. Chaque jour semblait être une répétition du pr
questions sur son existence, pas avant
pouvoir. Non, Caroline avait quelque chose de différent, quelque chose qu'il n'avait pas immédiatement compris, mais qu'il commençait à entrevoir à chaque seconde passée en sa présence. D'abord, il y avait cette distance, p
n'avait pas l'habitude de jouer à ce jeu-là. Les autres femmes, il leur accordait des sourires, des attentions superfici
mprendre, de percer ce qui se cachait derrière son regard froid et ses gestes mesurés. Elle avait une manière de se tenir, une allure sûre d'elle qui en disait long sur sa force intérieur
, complètement absorbée par son travail. Il avait observé la manière dont elle laissait échapper une légère moue de frustration quand quelque chose ne fonctionnait pas comme prévu,
ition près de la fenêtre et se dirigea vers son bureau, observant Caroline de manière furtive. Il se demandait pourquoi, malgré la froideur apparente de ses gestes, il sentait cette chaleur se former dans la pièce, cette tension invisible
re pourquoi elle avait accepté ce travail. Peut-être avait-elle besoin de l'argent, peut-être aussi était-ce un défi personnel. Travailler pour un homme aussi célèbre, aussi scruté, n'était pas un choix anodin. Mais il y avait aussi une pa
ion en chaîne qu'aucun d'eux n'aurait pu prévoir. Alors qu'elle passait près de lui pour déposer des papiers sur son bureau, leurs mains se frôlèrent. Ce contact furtif, presque impe
une chaleur étrange envahir ses joues. Elle, qui avait toujours gardé une distance imposée, venait de perdre une fraction de son contrôle.
volé entre Nick et Caroline. Ce baiser, si innocent soit-il, se retrouva sur toutes les premières pages des tabloïds du pays. Le scandale éclata. Les ru
il prenne une décision. Ils voulurent que cette relation apparente devienne réelle, et pour apaiser le regard du public, Nick n'eut d'autre choix que de mentir. Il proposa
u, la pression de la situation la força à céder. Elle n'avait pas le choix. Le jeu était lancé, et bientôt, el
nge commençait à s'effacer. Et ce qui n'était au départ qu'une façade allait, à
pour renforcer l'apparence d'un couple passionné et sincère. Des dîners en amoureux, des promenades en ville, des apparitions publiques, tout était mis en scène, chaque moment étant scruté et analysé à la
ette situation. Pour elle, tout cela était un masque, un mensonge qu'elle portait comme un manteau lourd, qu'elle ne voulait pas accepter. Mais les baisers qu'ils échangeaient devenaient de plus en plus
l sentait une tension grandissante entre eux, une attraction qu'il n'arrivait pas à ignorer. Il n'était plus certain de ce qu'il ressentait, ni de la façon dont Caroline réagissait à ses gestes. Il avait é
feuilletant des documents, tandis que Nick se tenait près de la fenêtre, observant la vue sans vraiment la voir. Il laissait ses pensé
e leva brusquement, brisant le
.. ce n'est pas
Elle voulait qu'il comprenne, qu'il sache que ce jeu n'était pas le sien, qu'elle n'était pas une simple pièce dans son décor. Elle ne voulait pas être un
arcourut sa nuque, comme un avertissement qu'il n'arrivait pas à ignorer. Il s'avança lentement, son regard ne qu
x dire ? murmura-t-il,
quement, interrompant le moment fragile. C'était sa collègue, Laura, qui entrait dans la piè
e de malice dans la voix. Je suis désolée, je voulai
s yeux, mais elle s'efforça de ne rien laisser paraître. Nick, lui,
répondit Nick d'un ton détaché. No
cette conversation. Elle avait l'impression que tout s'était joué en un instant, que cette intrusion avait effacé tout ce qui avait
mour des invités et des tenues scintillantes enveloppant la salle d'une aura presque irréelle. Les journalistes étaient partout, capturant chaque sourire, chaque geste, chaque mouvement des invités.
, mais en réalité, elle avait besoin de prendre l'air, de fuir cette atmosphère étouffante. Lorsqu'elle arriva à l'extérieur, le vent frais la frap
line,
le regard insistant. Il s'approcha d'elle, et tout dans son a
sa voix plus douce cette fois. Tout
e laisser emporter. Elle avait trop de chos
k, il est
rds se croisèrent une dernière fois, et c'était comme si un éclat de vé