L'Assistante Personnelle du Patron Impitoyable
. Son regard perça l'air, lourd de jugement et de curiosité. « Donc, vous êtes sûr que nous avons deux chambres, n'est-c
n'avais pas prévu de devoir passer la nuit dans cette petite cabane au mili
is confortable. Elle dispose de deux chambres. Vous aurez la plus petite, bien sûr. Je m'attendais à ce qu'une femme de ménage a
plus perdue qu'au début. "Uhm, d'accord", murmura-t-elle d'
is attendu à une femme d'âge moyen, discrète, probablement avec des cheveux grisonnants et une attitude de ménagère ordinaire. Pas cette jeune femme
y a des draps propres sur le lit et une couverture supplémentaire dans le placard. Si tu veux bien, essaie de ranger un peu la cuis
m'éloignai d'elle, filant vers mon bureau sans un mot de plus. J'avais besoin de m'immerger dans mon travail, dans mo
luttant pour rendre mes personnages réels, pour leur insuffler une vie qu'ils n'avaient jamais eue auparavant. Et voilà que cet
et des yeux couleur chocolat. Une moue espiègle sur ses lèvres, un regard moqueur qui, tout en étant mignon, renfermait une pr
ussi similaire à la brune à peine à six mètres de moi ? Une pensée me traversa l'esprit, me faisant douter de
léphone qui se mit à vibrer juste à cet instant
n..." Le mot s'échappa de mes lèvres, une réaction purement instinctive. Puis, prenant u
ses yeux rouges de larmes et son visage m
e vertébrale. Mon père et moi étions en froid depuis des années, et même après la maladie, je n'avais ja
nt pouvais-je ? Comment pourrais-je abandonner mes rancœurs et l
t pas, » répliquai-je en serrant
t les médecins ont dit qu'il n'en avait plus pour longtemps. Vous deux, vous devez enterrer la
x m'échappant. « Tu te moques de moi ? On sait tous les deux
détestait que je parle de Calvin, le frère que j'avais perdu dans un accident que mon père
an. Je ne sais pas ce qui m'a pris. » Je la voyais s
'ai toujours cru en toi, Bo, que tu étais ce garçon bien... mais... » Elle s
maintenant. Ses cheveux gris ternis, sa peau, presque translucide. Elle était épui
esquissa sur ses lèvres. « Merci, Bo... Paul va vraiment apprécier ça. » Elle tenta de changer de sujet, une tentative maladroi
n'avait aucune valeur. Ce n'est qu'après que j'aie fait un premier million qu'il semblait commencer à accepter m
s bien. Je suis arrivé à la cabane, pensant que l'isolement m'aiderait.