Cœurs Trompeurs

e Cas

t. Leonardo et ma mère m'ont obligée à porter une robe de mariée et à prendre des photos avec un inconnu. Cet inconnu portait également une tenue d'ho

e sur eux, car c'est une famille discrète. Néanmoins, je sais qu'ils vivent à San Francisco et font partie des familles les plus influente

lorsque j'ai lu cela, ma poitrine s'est serrée et j'ai ressenti le goût amer des regrets de ce que nous nous apprêtons à

r à San Francisco ? » hu

Leonardo au téléphone et je viens d'apprendre par le biais d

ance ma mère, avant de reprendr

demander de me calmer ? » m'enflamme je e

raccrocher le téléphone. Je cesse de marcher et vais ver

nce je, les bras cro

vol pour San Francisco. Tu dois être auprès de... t

comme si c'était juste une situation normale. Je me rapproche d'elle, me mets à genoux devant elle et la fixe. J'e

eule ? » lui interrogé

ujours là Cassandra. Tu as 26 ans, tu peux voyager seule et

ni cette famille. Et puis Santiago, s'il se réve

je me suis illégalement mariée. Je ne sais même pas comment sa f

le rôle d'une épouse, partager la même chambre et le même

a va ! » hausse t'ell

euil et me transperce du regard.

qui va compromettre ce plan. D'ailleurs il y'a Leonardo, donc

le est d'une froideur inquiétante. Je me relève lentement et

par la situation. « Je vais donc me d

n se trouvent dans ton placard. Je viendrai te voi

nt le long de mes joues alors que je fais sortir ma valise qui se trouve sous mon lit. Puis je vais récupérer mes affaires et les jette dans la valise sans me soucier de leurs emplaceme

dentité. J'essuie mes larmes, retouche immédiatement mon visage

moi, deux valises et un sac à main. Ma mère qui se

axi pour toi et il t'attend a

e totalement cette information. Je traîne mes valises jus

vers lui. Le conducteur de taxi sort du véhicule et vient me donner un coup de main avec mes affaires.

par cette séparation. Tout comme moi, elle souffre. La seule différence, c'est qu'elle est plus for

! » me lance t'elle, d'un

hâtivement puis je vais m'engouffrer dans la voiture. Le conducteur me rejoint après avoir fi

es heures

. Leonardo avait déjà tout prévu, l'hôtel où je dois sé

cule. Puis il s'en va. Figée devant le grand hôtel, je contemple la façade majestueuse ornée de marbre. Mes yeux parcourent les

vite. Je n'avais jamais séjourné dans lieu aussi luxueux que cet hôtel. Fascinée pa

en cristal scintillant. Le sol est recouvert de moquette luxueuse, et des œuvres d'arts contemp

omptoir, il y'a des personnels en uniforme souriant, prêt à offrir un service irrépro

st une demoiselle aux cheveux longs châtains foncé

m'exprime je, la

as le nier, cet endr

uis-je faire pour vous ? » me demande

» corrigé je avec le peu

e ses yeux se posent sur la bague en diamant qui brille autour de mon ann

'excuse pour l

veux. J'ai peut-être l'air d'une adolescente, ce qui peut pr

faire pour vous ?

ne fixe et je l'entends répondre par « D'accord » ; « Ok » ; « Pas de soucis ! ». Elle raccroche le téléphone puis me prête à no

rvé une suite pour vous. »

upéfaite pendant

t'elle avec courtoisie en me tendant les clé

ponds je avec un

ceptionniste. Je monte dans l'ascenseur pour rejoindre la 3e étage puis longe le couloir élég

ment. Je déverrouille celle-ci et m'engouffre à l'intérieur. Un climat chaleureux et

x. Je laisse mes affaires au milieu de la pièce, toujours sidérée par la décoration de la chambre. J'avance à petits pas vers le

préoccupe en ce moment, c'est de me reposer. Je vais m'asseoir sur le lit et me débarrasse de mes talons à aiguilles,

*

e mon sommeil. J'ouvre péniblement les yeux, tâte le li

» fais-je, e

ore. Je fouille le sac avec maladresse puis par

s yeux aperçoivent le nom qui affiche

fais glisser mon doigt avec hé

dis-je, d'une

t'es assez reposée. » me parle t'il

'heure qu'il est et je me rends compte qu'il est 02h du matin. J'aval

à l'hôpital où nous sommes en ce moment avec Santiago. Tâche toi, d'

D'acco

t raccrocher mai

que j'apporte les papier

n'est pas enco

ronce les

serai-je crédible

e chargera

. Je ne m'attarde pas sur l'apparence de cette pièce, la seule remarque j'ai faite c'est qu'elle est aussi spacieuse et impecca

at de santé de son époux » me répète je sans cesse en fou

de maquillage avec moi. J'étais tellement pressée et sur

u. Je me tiens devant la glace, la poitri

t mon teint mate est aussi terne, certainement dû à tout ce qui se passe ces derniers jours. Mes cheveux

moyennement volumineuse ainsi que le postérieur. Il y'a aussi un grain de beauté en d

travers le miroir, puis jette un coup d'œil sur la r

je me chang

re et je saisis mon téléphone ainsi que m

uiv