La Compagne Volée du Parrain Maudit
pit
s nuages lourds empêchant la lune de projeter la moindre lueur sur l'asphalte détrempé. Le manoir se dr
résonna au loin, presque étouffé par le vent. Un froissemen
travers la fenêtre de son bureau. Une silhouette gisait devan
tentatives d'assassinat n'avaient rien d'inédit pour lui. Il avait déjà vu des cadavres jetés sur son
il y avait quelque
apide, il ap
aussi impassible. Grand, massif, avec son éternelle barbe de
onça Dante en désignant la
coup d'œil et ha
que je m'e
e l'élimine et on
l fixait la silhouette, quelque chose
la cher
le toisa
u es
besoin de le faire. **Personne ne
'observa depuis la fenêtre, détaillant chaque mouvement de son homme. Lorsqu'il se pencha
omprit
secondes. Les doubles portes s'ouvrirent dans un grincement si
femme inconsciente que Gab
veux sombres étaient plaqués contre son visage, cachant ses traits sous une couch
t son
nd. **Elle ét
e pesant
convaincu par l'idée de ramene
l en serrant la mâchoire. **Un cadeau empoisonné, un
femme, son regard glacial s'attardant sur ses vêtements en
n'était pa
e proie. Une
longtemps sous cette p
l avec un rire froid. **Tu veux
ante fut une ré
el gr
utain
protesta pa
rta les mèches trempées du visage de
connai
oire. Mais il avait déjà
s d'une rencontre entre clans ennemis. Une
rceptible parco
it pas ici
-la à l'i
s'exécuta, portant la jeune fem
t l'immense cheminée où un feu mourant crépitait encore. L'air chaud c
is régulière. Il nota chaque détail, chaque cicatrice
bras, un regard n
s faire quoi
ondit pas to
einte,** murmura
t alo
était se
n de nos ennemis, on devrait la
lentement la
uer une femme
iqua Gabriel sans ciller,
re nature. Il avait tué, torturé, détruit des vies entières sans un ba
tant, quelque c
ntôme du passé. Peut-être parce qu'il voyai
parce qu'il détestait qu
lle r
bruyamment, se
re qu'on va avoir une putain
ne sou
obable
avant de s'éloigner, murmurant un ** »tu es vra
e répon
jeune femme, observant son vis
on le pa
t quels secrets elle portait. Mais une chose était