La Compagne Volée du Parrain Maudit
pit
ment. Chaque pas lui coûtait, chaque inspiration brûlait sa gorge. Son ventre arrondi par sa grossesse la ralentissait, mais elle ne pouv
te de la mort... Tout cela avait nourri sa rage, aiguisé son instinct de survie. Elle n'était plus cette femm
vait pas beaucoup de temps. Son cœur battait à une vitesse folle tandis qu'elle s'élançait vers les véhicules garés à la hâte
blant se mua en une prière muette. Ses doigts fébriles fouillèrent sous le pare-soleil. **Rien.** Pu
le, une voi
le est
ment de la porte du hangar. Grand, massif, son visage durci par la violence d'une vie
avait appris à voler une voiture quand elle était gamine. Ce savoir, qu'elle avait autrefois méprisé
rière le volant, claqua la port
t de peu d'écraser son poursuivant. Des balles sifflèrent, brisant la vitre arrière dans un fr
it pas. Elle n
s'amoncelaient les restes d'une industrie oubliée. **Elle n'avait aucune idée d'où elle allait.** Tout ce
té n'était pa
* voitures. Ses doigts se crispèrent sur le volant, son cœur tambourin
e. La route était droite, sans aucun virage immédiat pour les seme
de feu
olonne vertébrale. Elle sentit son bébé bouger violemment en réponse au
rière elle se
e jusqu'au sang, refusan
plus large, probablement une autoroute menant vers la vill
ision en une fra
de poussière derrière elle. La berline tressauta violemment sur les cailloux, manquant de la f
suivantes hésitèrent une seconde
andonnerai
oues glissant dangereusement sur le sol meuble. Les arbres se res
ent sinist
ée sous les feuilles, envoyant la voiture
nde b
retenant de justesse. La berline dérapa, heurta un
tomba, as
, une douleur sourde irradiant tout son c
n ventre. Pas de sang. Un soulagement la traver
ère elle rugirent
bouger. **
sa tomber au sol, sa jambe droite
tains sur le sol humide. Les branches fouetta
e, des voix
ouvez-
serrant autour de sa gorge. Elle trébucha, se r
it de l'ombre et l'
étranglé par une poigne de
s n
comme l'acier, murmur
eux vivre,
omme la tira brusquement en arrière, la fo
s d'apercevoir son visag
uit qui les entourait. Il était grand, trop imposant pour être un si
doigt à ses lèvres
ivants émergea de la
u ne lui laiss
omme s'écroula, une tache so
nt un hoque
cris ré
uveur lui jeta un
n bou
ui dans les ténèbres, la tenant fermem