Mariée au Mafieux malgré Elle
e, Alexei Ivanov, n'avait été qu'un souvenir lointain et douloureux, un homme qui était apparu et disparu de s
ne parvenait pas à identifier. Était-ce la fatigue ? Ou peut-être l'homme qu'elle avait
is la rue était déserte. Elle haussa les épaules,
-
in, deux hommes observaient S
erveuse, » comme
nde connaît tout le monde. Elle doit sen
oss va vraiment l'a
n'est pas notre problème. On suit les
un instant devant la porte de son appartement. Elle posa sa main sur
les dernières nouvelles de ses hommes. Marco
d'amis, pas de contacts extérieurs. Tout indi
fixant la photo de Sofia accro
ait été rempli d'habitués bavards et d'étrangers de passage, et elle avait passé des heures à sourire et à courir entre les tables. Elle poussa un soupir en verrouillant la porte d'entrée derrière elle,
and, impeccablement vêtu, et affichait une expression polie mais distante. Sofia sentit son estomac se
» demanda-t-il d
ment, le regard méfiant
lui tendit. « Je travaille pour un homme d'affaires influent. Monsieur
eu plus vite. Le nom ne lui disait rien, mais l'idée qu'un ho
sso voudrait parler à une simple serveuse, » répond
calmement. « Il m'a demandé de vous transmettre son invitation pour un dîne
arla pas de son père, jamais. Elle avait construit une vie où son
épondit-elle froidement en lu
, mademoiselle Ivanova. Mais je vous assure que cette rencontre est dans vo
e à son passé, mais elle était aussi consciente que cet homme et celui qu'il r
-t-elle à contrecœu
hic qu'elle n'aurait jamais pu se permettre. Il s'inclina légèrement avant de
-
bien qu'elle le pouvait avec ses moyens limités. L'endroit était élégant, bien trop lu
table isolée dans un coin. Mais lors
s instants, mademoiselle, » dit l'ho
es minutes s'écoulèrent lentement, et bientôt, son anxiété se transforma en s
à peine avait-elle fait un pas qu'un serveur appa
un instant, mademoiselle. Mo
répondit Sofia, sa voix tremblant
e l'atteindre, deux hommes apparurent comme par magie devant elle. Leurs cos
» dit l'un d'eux, sa v
.. Je veux
es hommes, mais une main f
compliquées qu'elles ne le son
prendre qu'elle n'avait pas le choix. Terrifiée, elle fut escortée
hommes lui plaça un chiffon sur le visage, et l'od
-
et il lui fallut plusieurs secondes pour comprendre qu'elle n'était plus au re
lle se trouvait n'avait rien de rassurant. Les murs étaient recouverts de bois s
nd, imposant, et vêtu d'un costume noir, il dégag
ne voix grave, son regard per
nctivement jusqu'au mur derrière elle. «
it-il calmement, comme si cette si
Vous m'avez kidnappée ! Je
a fixer avec cette intensité glacial
lèvement, Sofia. C'e
de peur. « Une nécessité ? Vous m'arrachez à
vie, Sofia, n'a jamais été la tienne. Tout ce que tu crois être,
« Je ne sais pas de quoi vous par
nant de toute sa stature. « Non, mais tu conn
oupa le souffle. Elle secoua la tête, refusant d'écoute
tranchante. « Il m'a volé. Il a trahi ma confiance. Et toi,
de ses mots. « Je... je ne sais rien de tout
aleur froide de son autorité. « Peu importe ce que tu sais ou ce
« Vous êtes malade... Je ne suis pas responsable des
re, froid et implacable : « Dans mon monde, Sofia, les dettes
dans une chaise en bois massif, face à une grande table de réunion éclairée par la lumière froide d'un lustre imposant. La pièce, austère et intimidante, semblait taillée sur mesure pour refléter l
tion. Depuis son enlèvement, elle n'avait eu aucun moment pour elle-même, aucune chance de reprendre son souffle ou d'analyser la situation. Chaqu
a voix basse et coupante comme une lam
ête, confuse. « C
ixant avec une intensité qui lui donna des frissons
e ne sais pas de quoi vous parlez. Je