Mariée au Mafieux malgré Elle
vanov était un homme qui manipulait tout et tout le monde. Il a accumulé des milliards avant de me
s la vérité. Je n'ai rien reçu de lui, ni argent, ni aide, ni quoi que ce soit. Mon
igne d'ébranlement. Il s'approcha lentement de la table
basse, presque un murmure. « Alors je vais te poser
ais elle les retint de toutes ses forces. Elle
e travaille comme serveuse pour payer mon loyer. Je n'ai jamais vu cet argent dont v
rie dans ses yeux. Mais tout ce qu'il vit, c'était une jeune femme é
ne le pensais, » lâcha-t-il finalement, recu
avez kidnappée, accusée de choses dont je ne suis pas responsable,
a fixa avec un sourire à peine perceptible, mais
ue tu es vraiment. Une clé. Une opportunité. Ton existence seule est une dette. Ton père
rédule. « Qu'est-ce
eau les bras sur sa poitrine. « Ça ve
e ne vous dois rien ! Rien du tout ! Vous pouvez me menacer autant q
épondit-il calmement, mais son ton
pouvez pas faire ça. Vous ne pouvez pas me tenir r
de, Sofia, les dettes sont une question d'honneur. Ton père n'es
coupant le souffle. « Et qu'est-ce que vous attendez de moi ?
dur se dessinant sur ses lèvres.
attendant la suite, son cœ
te marier
ta de rire, un rire nerveux et incrédule. « Vous êtes f
t pas une proposition, Sof
ées se bousculant. « Pourquoi ? Pourquoi voud
liant à un homme que je choisirai, tu serviras de g
endre, » murmura-t
» répondit-il froidement. «
s débordant malgré elle. « Je r
nt d'une intensité terrifiante. « Tu n'as pas le choi
égée. Le silence dans la grande salle semblait peser des tonnes, comme si même les murs retenaient leur souffle face à la confrontation qui venait de se dérouler. Giovanni s'éloigna, la démarche lente et calculée, e
ation. Son esprit s'emballait, cherchant une échappatoire, un moyen de sortir de cette situation absurd
s yeux rivés sur le liquide ambré qui tourbillonnait dans son verre. « Une semaine. C
ouvez pas me forcer à faire ça. Vous pensez pouvoir contrôler t
is tu te trompes. Ici, tout le monde danse au rythme que je dicte. Tu peux me défi
ne sortit. La peur nouait sa gorge, et l'intimidation
a, tu devras choisir. Soit tu acceptes, soit je fais
ot de plus, la laissant seul
-
costume qui semblaient surgir de nulle part dès qu'elle faisait un pas hors de sa chambre. Elle avait essayé de poser des questions, de comprendre ce qui se passa
la, elle croisa une jeune femme vêtue d'un uniforme de dom
gards autour d'elle pour s'assurer qu'aucun des gardes ne l
ua la tête avec force. « Je suis désolée, madame, mais je
s yeux brillants de désespoir. « Je ne
s de main s'approchaient, leurs regards perçants ne laissant aucune plac
otre chambre, made
rapidement, tête baissée, et Sofia fut escortée jusqu'à sa chambre, où la porte fut re
-
seule. Elle passa des heures à observer par la fenêtre, calculant les rondes des gardes et les zones de la propri
re. Ses pieds nus lui permettaient d'avancer sans bruit sur les tapis épais qui couvraient les coulo
lante sur la poignée et la tourna lentement. À sa grande surprise, la porte n'était pas
e attrapa son bras, la tirant brutalement en arrière. Elle se re
aussi simple ? » grogna-t-il en la tra
de frustration. « Lâchez-moi ! Vous n'
t, elle fut escortée jusqu'au bureau de Giovanni. Il l'attend
rière eux. Sofia chancela légèrement avant de se redresser, son re
ça ! » cria-t-elle. « Vou
le, calmement. « Je t'avais di
e suis pas à vous ! » hurla-t-ell
nte qu'elle commençait à reconnaître. « Tu crois vraiment que tu peu
as, son souffle ra
t que tu fais, je le connais. Chaque pensée de fuite, je l'anticipe. Tu es ici, sous m
illants de colère et de peur
Tu n'as pas besoin de rendre les choses plus difficiles pour toi. Une semain