ENTRE DOMINATION ET DÉSIRE
rne
se bousculaient, se superposaient. Chaque phrase, chaque inflexion de sa voix, semblait résonner en moi, me laissant dans un état de confusion totale. Que voulait-il dire par "explorer cette sit
ui venait de se passer. Mais plus je réfléchissais, plus je me sentais perdue. Il y avait cette tension entre nous, cette attraction indéniable, et pourtant je n'avais jamais eu l'intention de
question, chaque doute qui m'effleurait, je me sentais de plus en plus en équilibre précaire, sur le point de basculer. Comment pouvais-je être aussi influ
spiration était plus rapide. J'avais l'impression de ne plus avoir de prise sur ce qui se passait autour de moi. Comme si tout était en train
ion intérieure, je reçus un message
i à ce dont nou
n test ? Une simple invitation à approfondir ce que nous venions de commencer à effleurer ? Ou était-ce juste un mess
jet. Cette pression. Cette constante tentation. Je n'arrivais plus à être objective. À quel moment cette relation,
e plus. Mais est-ce que je voulais vraiment ça ? La question me tourmentait. Une part de moi, la part rationnelle, me criait de poser des limites, de remettre de l'o
doigts tapant sur le clav
as ce que tu a
e vienne. C'était rapide, trop rapide. Je me tendi
u sois honnête avec t
nt une invitation. Une invitation à franchir une ligne que je n'avais jamais imaginé franchir. Une ligne invisible ent
? Pourquoi avais-je le sentiment qu'une partie de moi était prête
pondre à ses provocations silencieuses. J'étais censée être plus forte que ça. J'étais censée savoir où je voulais a
rigeai vers la sortie du bureau, évitant les regards curieux des autres employés. Dehors, l'air frais me frappa en plein visage, mais
nant dans l'air. Camille, elle, avait toujours été présente dans la vie d'Adrien. Je savais qu'ils se connaissaient bien. Bien plus que moi, en tout cas. Et
me voyant. "Charnelle, ça va ? Tu as l'air préoccupée," dit-elle, d'un
erci," répondis-je, en espérant ne pas paraître trop déstabilisée. Mais Camill
urs l'air un peu distant avec tout le monde. Mais je sais qu'il y a des choses qu'il garde pour lui. Tu
'Adrien de manière... protectrice, presque. Elle semblait s
i-je, bien que je sentais déjà que je
C'est juste que... parfois, ce que l'on croit être une simple relation profe
is pas envisagée. Pourquoi me disait-elle cela maintenant ? Pourquoi me
moi savait que je n'étais plus sur le même chemin. Il n'était plus question de simplement être une secrétaire pour lui.
Et ce que je choisirais de faire à ce moment-là