Besoin de parler
Am
umé. Disney et leur princes imaginaires, qui quand tu tournes le dos, tue sa fem
t-ce que tu baises ? Ça commence par un t'es belle, puis combien tu pèses ? Non vraiment une perte de temps et d'énergie, mais
risoire, qui mènera à laboratoire. Amour
lait réellement bien, elle ne se serait pas agrippé à lui. Elle ne lui aurait jamais aimé, mai
ns même avoir connu le goût de
ses poumons se compresser, quand elle se rend compte que ce n'était pas un prince de Disney. Elle aurai
is je t'aime. Tu n'as
tu enlevais ton voile tu
as, ne t'aime plus. Je su
que je te touche ? Tu sais je peux toujou
.
s sales sur sa peau. Prenant ses sentiments pour acqu
de le gifler à son bras et sa main. Le temps de comprendre, il la regarda comme si elle venait de l'agresser. Les rôles sont inversés. Ell
le pu
me dégo
'elle avait baisé avec lui. Trist
l'apprendra, elle aussi la reniera. Elle sentait encore ses mains sur sa peau. Ses câlins vicieux juste en bas de son dos. Et ses mains qui descendaient encore, et encore. Qu'avait elle dit pour qu'il pense qu'elle était d'accord ? Ce
U
it être de sa faute. C'est
e grandit, Et un nouvel a
le faire, elle a dit que ça la soulageait. » Au début elle ne faisait qui pensait. Elle ne faisait qui songer. Puis elle
dépends. Elle ne faisait que ça, manger du sucre. Tout le temps, a telle point où quand elle n'en avait pas sous la dent, elle se m'était à faire une crise de nerf. Violente, gr ossière, voilà comment on la décrivait. Les profs ne valaient pas mieux que les élèves, indifférents et froid, il la traitaient de raté. De malade, de dépressive. Se moquant de son éta
lui tomba sur la tête.
our tout. Ils lui priaient mais elle n'entendait pas, ils lui demandaient mais elle ne répondait pas. Trop tard pensait-elle. C'est trop tard. Mais e
E . Pensait-ell
voulait son âme, et il