Mon mari de la mafia
s qui semblaient s'étendre à l'infini. C'était exactement comme dans ses souvenirs, et pourtant, tout semblait différent, plus sombre, plus pesant. Elle resserra sa prise s
i lui rappelait les vendanges d'autrefois, lorsqu'elle courait pieds nus dans les champs avec son père. Mais ce souveni
mblait une épreuve, chaque pierre un rappel de ce qu'elle avait fui. Lorsqu'elle atteignit enfin la bâtisse, elle s'arrêta pour re
s tuiles manquantes sur le toit laissaient entrevoir des trous béants. Pourtant, c'était ici qu'elle avait grandi
ortaient les traces du temps. Posant sa valise dans l'entrée, elle resta immobile un instant, laissant le silence l'envahir. Les souvenirs affluaient, violents et insistan
prenaient leurs repas. Sa main glissa sur la surface rugueuse, s'arrêtant sur une entaille pro
papa... » murmura-t
le se retourna vivement pour voir une silho
, » souffla E
'illuminant d'un sourire. Elle portait un
hère ! Tu es re
aladroitement, Pia ten
petite. Et cette maison... oh, il y a du trav
» répondit Elena en esqu
a table, posant so
r après tout ce temps ? » demanda-t-elle
le avait fui à Rome, ce qu'elle avait perdu, et pourquoi elle avait be
e revenir aux sources, » d
elle comprenait plus qu'El
Mais attention, Elena. Ici, les secrets
onça les
crets parlez-vo
e hausser les épaules, un sour
ssez tôt. Tout finit toujours
, elle quitta la maison, laissant El
e lumière qui rendait tout irréel. Elle marcha jusqu'à l'ancienne villa Monteverdi, une bâtisse imposante mais abandonnée depuis de
s l'encadrement d'une fenêtre. Grand, avec des épaules larges et un
mais il y avait quelque chose de magnétique chez lui. Lorsqu'il fit un pas en avant, la lum
, sa voix grave réson
ent, surprise qu'il
uis Elena Moretti. Je vie
is quelque chose dans son expressi
Je s
es sourcils,
t ça, vous
ment, se contentant de la re
t. Tout le monde sait t
s et disparut à l'intérieur de la villa, laiss
tourbillonnant. Qui était cet homme,